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(Maladies Inflammatoire Chroniques Intestinales)
Quels sont les Facteurs d’environnements incriminés dans les MICI ?
· Infections (Listeria, rougeole, E. coli, Yersinia…)
· Tabac
· Appendicectomie
· Antibiothérapies++
· Vaccins
· Absence parasitose intestinale (oxyures = effet protecteur)
· Absence Allaitement maternel
· Contraception orale
· Toutes les infections intestinales de la petite enfance (gastro)
· Stress
· Sédentarité
· Sodas et sucreries
· Microparticules alimentaires (= nanoparticules)
Alimentation adaptée pendant 3 mois (pour reprendre du poids et aller mieux, moins de douleurs) :
Eradication totale du gluten et des produits laitiers
Apéritif matin, midi et soir (cf. cocktail ANTIOXYDANTS+++) à base jus pdt lactofermenté, jus myrtille, pulpe aloé, TM salicaire (grande plante anti-diarrhéique), Bg Noyer (matin) et Bg Figuier (soir)…
Matin : Thé vert ou Chicoré ; Pain sans gluten avec écrasé d’avocat ou purée d’amandes blanches (pas complète) ou tapenade + 2 œufs à la couque ou saumon fumé bio ou 2 tranches de rôti de dinde
Midi et Soir : Pas de crudités. Purée de patate douce ou de carotte ou les 2 + haricots verts ou brocolis mixés (éviter les fibres dures comme le fenouil) + sel gris + 1 CàS huile oméga 3 avec volaille ou poisson
Un dessert à base de soja (au chocolat…)
Goûter : Fruit à 17 heures : Banane en rondelles + confiture de myrtille ou coing sans sucre.
Probiotiques adaptés (MAI ???) : Probiotiques pour augmenter la quantité des lymphocytes régulateurs.
On peut donner des plantes adaptogènes sous forme liquide pour éviter pbs digestion des gélules (quantis sans alcool ou bg…). Au bout de 2-3 mois, on peut introduire les gélules car l’intestin commence à être soulagé.
Réserver les médicaments en cas de poussée (suite stress, Junk Food..)
Faire un test d’intolérances alimentaires surtout si pas d’amélioration au bout de 2 – 3 mois.
La gliadine du gluten stimule la zonuline, qui en excès va ouvrir les jonctions serrées et favoriser l’hyperperméabilité intestinale.
Les peptides opioïdes vont se fixer sur les récepteurs « Toll-like » de l’immunité innée (sont différents des récepteurs LPS) —> vont déclencher une réaction inflammatoire.
Ces récepteurs « Toll-like » sont en plus grand nombre en cas de sensibilité au gluten.
Réaction inflammatoire activée par les inhibiteurs d’alpha-amylase et trypsine que l’on trouve COURAMMENT dans les céréales.
D’’autres aliments sont également perturbateurs :
La caséine (80 % des protéines du lait et des produits laitiers sont de la caséine) = formation de caseomorphines (induit de l’addiction)
Les lectines d’une manière générale : pommes de terre, piments, tomate à problèmes analogues à la sensibilité au gluten
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AISN : aspirine, Ibuprofène), Chimiothérapie, Radiothérapie
Le déficit en zinc (79% des Français) et en vitamine D (plus de 80% des Français)
Allergie aux protéines du lait de vache en général (une trentaine comme la Béta lactoglobuline)
Lait écrémé idem
Allergie croisée avec les protéines du lait de soja, le blanc d’œuf —> si allergie au lait, supprimer aussi le soja et blanc d’œuf
Le nourrisson pleure juste après le biberon (aggravation des symptômes) :
Diarrhée
RGO chez le bébé (enlever le lait de vache au profit du lait de jument ou d’ânesse, jamais du lait de soja à cause de l’allergie croisée)
Céphalées
Irritabilité
Allergie cutanée
Dans :
Viande
Charcuterie
Oeufs
Lait cru dont certains fromages
La salmonelle est captée par le macrophage et arrive à survivre dans le macrophage.
De temps en temps, les macrophages libèrent les salmonelles et elles se propagent un peu partout (elles arrivent à déjouer nos défenses immunitaires).
Fièvre
Vomissements
Douleurs abdominales
Gastro-entérites
Fièvres de typhoïde et paratyphoïdes.
Matières fécales de personnes atteintes ou de porteurs convalescents.
Nausées
Diarrhée habituellement sanglante
Ténesme
Shigella entraine une hypersécrétion de mucus (selles remplies de mucosités), avec infiltration leucocytaire, œdème et souvent des ulcérations des muqueuses superficielles.
Activation NF KB suite à l’entrée de shigella.
L’entrée de schigella provoque apoptose —> Libération de cytokines pro inflammatoires + échappement des schigella dans les tissus et entrées par le pôle basolatéral des entérocytes et colonisation intra cellulaire et infection des cellules voisines
—> Beaucoup d’entérocytes meurent
Maladie de Crohn
Maladie cœliaque
Alimentation carencée
Carence en enzymes et lactase
Tumeur pancréas
Hyperthyroïdie
Entérite
Entéropathie diabétique
Antibiotiques
Effets secondaires de laxatifs
Chimiothérapie
Lymphome
Parasitoses
Glossite (carence en B9, B12, Fe)
Troubles neurologiques (carences B9, B12)
Troubles de la coagulation (carence vit K)
Tétanie
Douleurs osseuses
Œdèmes des extrémités
Diarrhées
Perte de poids
Anémie
Fatigue
Aboutit à :
Ostéoporose
Fatigue surrénalienne
Sarcopénie
…
Induit :
• Réduction de la surface d’absorption
• Modifications fonctionnelles et modifications de la motricité (les fibres musculaires et les neurones ont été enlevés)
• Perturbation du métabolisme des acides biliaires (car normalement ils sont réabsorbés par l’IG)
• Hypersécrétion gastrique (car pas assez d’enzymes dans l’IG)
• Modification du microbiote colique
• Adaptation colique (le côlon va essayer de remplir les fonctions de l’IG)
Corps étranger (Taly ♥)
Bride ou adhérences (souvent après appendicectomie)
Torsion
Tumeur
Invagination
Douleurs crampoides
Éructations++
Vomissements (plus ils sont précoces, plus l’occlusion est haute ex : jéjunum)
Météorisme
Arrêt des matières et des gaz, Abdomen distendu sans défense abdo au début puis péritonite = mort
Occlusion colique
Pancréatite
Lithiase rénale
Cholélithiase
Diagnostic : Examen clinique ; Radiographie debout sans préparation ; Echographie
Difficile à distinguer cliniquement d’autres maladies comme :
Maladie cœliaque,
Intolérance au lactose ou la sensibilité au gluten
Syndrome du côlon irritable
Colopathie fonctionnelle
Les produits fabriqués par les bactéries dans le côlon droit et gauche vont, dans l’intestin grêle se comporter comme des facteurs de croissance et générer des tumeurs et polypes. Les glucides très mal absorbés, stagnent dans l’intestin grêle, vont fermenter et nourrir les bactéries et candida albican++ = permettant leur multiplication.
Les sucres simples génèrent des gaz non odorants (hydrogène).
VIC altérée ; Compressions (VIC béante suite à la compression du colon droit qui laisse passer les bactéries)
Déficit en pepsine gastrique (les bactéries non éliminées dans l’estomac arrivent dans le duodénum)
Mauvaise qualité des sels biliaires (sécrétions pancréas et bile permettent d’éliminer les bactéries)
MICI (maladie de Crohn, maladie cœliaque, rectocolite hémorragique)
Système immunitaire affaibli (les bactéries qui pullulent ne sont pas agressées par le SI) ; HIV et autres
Complexe moteur migrant altéré (grignotage = pas de nettoyage de l’IG, les bactéries pathogènes ne sont pas envoyées vers le côlon.
Suite chirurgie : adhérences
Tumeurs
Sténoses (rétrécissement IG)
Le CMM permet d’emmener le chyle alimentaire de l’IG vers le colon : activité cyclique de contractions intenses qui balaient les déchets non digérés = authentique balayage intestinal.
Lors de la dernière phase (phase 3) plus courte et plus intense, les restes du chyme alimentaire sont propulsés de l’IG au colon.
Cette phase 3 a lieu en moyenne toutes les 90 à 120 minutes entre les repas et la nuit. Il faut au moins deux phases 3 pour nettoyer l’intestin grêle.
La prise de nourriture entre les repas freine ou anihile (annule) son fonctionnement : le grignotage est particulièrement préjudiciable au CMM et il est nécessaire d’espacer les repas de 4 à 5 ou 6 heures en fonction de la composition de la ration alimentaire.
Les fréquences les plus intenses de phase 3 ont lieu pendant le sommeil d’où le conseil de ne pas manger la nuit.
Le CMM est malmené par une nourriture inadaptée = grignotage
Le diabète qui ralentit la vidange gastrique
L’hypothyroïdie qui génère de gros problèmes digestifs
Les infections à Clostridium difficilé, bactérie en cause dans la maladie de Parkinson
Les médicaments, en particulier les opiacés, les caséomorphines, les glutenmorphines élaborés au niveau intestinal
Le stress chronique
H2 (le moins dangereux) fabriqué dans le colon droit (fermentation), peut faire ballonner et causer de nombreux symptômes de putréfaction —> Tendances diarrhéiques
H2S : Hydrogène sulfureux (très rare) indique une immunité déjà fortement dégradée
CH4 méthane (un peu plus toxique) diminue la motilité de l’G de 70% —> Tendance au surpoids, diabète, dépression, acné, rosacée, diverticulose, anorexie + DYSBIOSE DIGESTIVE
Méthyl acétate C3H6O2 (le plus agressif et acidifiant comme du vinaigre ou coca) est propice aux candidoses (candida albican prolifère en milieu acide)
les parasitoses (candida albicans),
protozoaires ou les virus
la porosité intestinale
• Il faut affamer les bactéries : Jeûne ou monodiète
• Eviter les aliments crus (salade) ; céréales complètes et légumineuses
• Prudence avec les graines oléagineuses (augmentent terriblement le SIBO)
• Fruits et légumes pauvres en FODMAP
Utiliser un Antifongique qui soit un Antibiotique naturel à la fois : Berberine (5-6 mois) + PIANTO et BIO St JOSEPH pour réguler l’intestin et rien d’autre à côté
Après le traitement Berberine, utiliser des plantes prokinétiques qui accélèrent le CMM + Champignons ou Ail ou Produits des Laboratoires : Gingembre ; Baume de Jérusalem ; Complexe plantes des labo…
Ne pas donner plus de 2 plantes ou produits à la fois pour le SIBO
Certains SIBO sont résistants —> Recours au régime FODMAP pendant 3 mois
La malabsorption d’un de ces sucres est très fréquente, notamment en cas de SCI.
Réintroduire les aliments un par un —> Prend beaucoup de temps++
Si les douleurs persistent à la reprise alimentaire normale —> Faire un test d’intolérance alimentaire
SIBO (1ère cause)
STRESS+++
Antibiothérapie en dose massive
Corticothérapie orale
THS ou pilule contraceptive
Médicaments anti-ulcéreux
Constipation chronique
Mégacôlon ; Côlon irritable
Consommation++ sucres raffinés
Consommaiton++ viandes contenant des antibiotiques
Hypochlorhydrie
Diabète ou Pré-diabète
De la lumière intestinale vers les autres sites via la circulation (translocation)
De l’anus vers les voies vaginales
Migraines
Baisse de mémoire et concentration
Confusion
Sautes d’humeur
Tendance spasmophilie
• Côlon irritable : Spasmes, ballonnements, constipation ou diarrhée, selles avec mucosités, brûlures anales, prurit…
• État dépressif chronique
• Fatigabilité chronique
• Algies articulaires ; Lombalgies chroniques
• Allergies respiratoires ou cutanées
• Céphalées, migraines, vertiges
• Hypersensibilité émotionnelle avec phobies éventuelles
• Baisse des facultés de mémoire et de concentration
• Dysménorrhées, vaginite+++
• Prostatisme, balanite+++
• Cystalgies, brûlures à la miction
• Bouche sèche etc.
Au réveil, avant de se laver les dents, bien saliver et cracher dans un verre rempli d’eau
Au bout de 1 à 30 mn, observer :
• Salive déposée sur l’eau au centre du verre qui s’étale lentement avec des petites bulles : l’eau reste limpide —> Pas de problème
• Grosses bulles en suspension au milieu des petites bulles —> Il y a un doute
• Filaments visqueux qui chutent au fond du verre en tournoyant —> Signe de parasitose, de candidose —> Faire faire le MOU
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