Douleurs épigastre, hyocondres, flancs, fosses iliaques

De type Colique avec une irradiation qui descend le long du cadre colique (suit le côlon), d’intensité variable, de quelques minutes à quelques heures.

FACTEURS DECLENCHANTS : Multiples

FACTEURS CALMANTS : Émission de selles ou de gaz+++, antispasmodiques

HORAIRE : Absence ou Post-prandial

PÉRIODICITÉ : Absence

SIGNES D'ACCOMPAGNEMENT : Gargouillis abdominaux, ballonnement, troubles du transit (constipation ou diarrhée), émissions glaireuses ou sanglantes

EXAMEN CLINIQUE : Douleur en cadre sur le trajet colique

CAUSES : Cancer du côlon, Colites inflammatoires (MICI) ou infectieuses TFI (Troubles Fonctionnels Intestinaux) : syndrome de l’intestin irritable

- Syndrome du colon irritable

OU

- Troubles fonctionnels intestinaux (TFI)

Colite = lésion inflammatoire ou infectieuse du côlon

15 à 20% de la population, plus fréquentes chez la femme.

Les symptômes démarrent avant 30 ans (mais on les voit déjà dans l’enfance)

Diagnostic : « Pas d’altération de l’état général »

Traitement : Pansements intestinaux, antispasmodique

·         Boule dans la gorge

·         Brûlure d’estomac

·         Digestion lente

·         Nausées

·         Vomissements

·         Douleur abdominale avec Gaz

·         Alternance Constipation-Diarrhée

·         Mucus dans les selles

·         Crampes à l’anus

-       Migraines

-       Fatigue chronique

-       Hypoglycémie

-       Dystonie Neuro-végétative

-       Susceptibilité aux médicaments et à certains aliments

-       Dépression

-       Fibromyalgie

1.      L’inflammation empêche la réabsorption d’eau

2.      Les selles ne peuvent pas se former car trop de liquide présent

3.      Stockage d’un bouchon dans le côlon gauche car pas beacoup d’absorption d’eau + selles liquides + envie pressantes

4.      Evacuation du bouchon puis des selles liquides

Notre organisme relâche de l’eau pour éliminer les FODMAPs, ce qui provoque des diarrhées

Les bactéries vont « manger » les FODMAPs et vont libérer du gaz.

Si FODMAPs+++ = Gaz+++

= Ballonnements et Maux de ventre

Selles flottantes 

En cause :

• Abondance des gaz

• Mauvaise absorption des graisses si apparence huileuse

• Pancréatite

• Allergies alimentaires

• Infections intestinales

Si odeur de soufre

• Eventuelle giardiose (infection de micro-organismes)

1. Apparition des premiers symptômes : Troubles gastro-intestinaux

2. Si pas de modifications de l’hygiène de vie : Désordres non gastro-intestinaux

3. Quand on n’y prête pas attention : Troubles psychiatriques

·         Boule dans la gorge

·         Nausées, Vomissements

·         Alternance Constipation-Diarrhée

·         Mucus dans les selles

·         Migraines

·         Tachycardie

·         Troubles de la prostate

·         Syndrôme pré-menstruel

·         Incontinence

·         Fibromyalgie

·         Intolérances alimentaires

·         Prostatite chronique

·         Dysfonctionnements sexuels

·         Douleurs pelviennes chroniques

·         Vessie hyper active

·         Anxiété

·         Dépression

·         Somatisations

Supprimer les aliments qui peuvent augmenter les problèmes :

1. Diminuer les crudités (1/3 de crudités et 2/3 d'aliments cuits)

2. Supprimer pendant 2 à 3 mois : Artichaut et oignons cuits, petits pois (augmentent terriblement le problème), Salsifis-Topinambour-Rutabaga(ballonnements+++), Peaux des aubergines et poivrons, Jamais de vert de poireaux !!! (comme des épines dans l’intestin et va l’irriter ; ok blancs de poireaux), Jus de fruits (le fructose augmente les symptômes)

3. Prendre les fruits en dehors des repas vers 17 h avec une dizaine d'oléagineux (pour diminuer l'index glycémique) ou un avocat + un carré de chocolat

1. Pendant 1 mois : Commencer par une cure d’extrait de chlorophylle ou de zéolite activée pour nettoyer un peu + HE intestin (laboratoire Aroma celte).

2. Puis Pianto + plante antispasmodique (mélisse, angélique…) + un probiotique (MYRIAFLOR de Lorica) qui améliore beaucoup les colopathies fonctionnelles.

-       Constipation = Nombre de défécations inférieur ou égal à 3 fois/semaine

-       En naturopathie à < 1/jour (il faut aller 1 à 2 fois/jour à la selle)

-       Signes d’un bon fonctionnement intestinal : Normalement, le colon se vide 2 à 3 fois par jour ; L’élimination se fait 24 heures après l’ingestion.

Test : Consommer au repas de midi des betteraves ou des épinards (bien que ces 2 légumes soient très légèrement laxatifs) et constater le temps qui s’écoule entre l’ingestion et l’élimination —> La couleur des selles doit être rouge ou verte.

-       Transit trop long : Les matières fécales se déposent sur les parois du côlon sous forme de croûtes = calaminage intestinal —> Réduit la lumière du côlon et diminue les éliminations.

-       Couleur et la consistance des selles : Couleur brune avec une consistance ferme et pâteuse.

-       Les selles ne doivent pas souiller l’anus (le papier).

-       Gaz = Signes d’excès de fermento-putrescences.

Une bonne santé abdominale (du côlon) = Quasiment pas de gaz.

-       Ventre proéminent et ptose possible du côlon transverse.

1. Anomalies constitutionnelles du côlon :

• Dolichocôlon++ : Longueur anormale du colon = Exonération (évacuation) ralentie —> Peut être Congénital ou Acquis (constipation pendant des années) suite à des troubles neuro végétatifs ou endocriniens

• Mégacôlon : Côlon trop long et dilaté —> Congénital

• Maladie de Hirschsprung surtout chez l’homme —> Problème au niveau des plexus d’Auerbach et de Meissner = Absence de cellules ganglionnaires parasympathiques

Dyschésie = Ralentissement, difficulté à évacuer au niveau du sigmoïde et du rectum (recours aux suppositoires à la glycérine ou lavements —> pas très bon !)

Hypotonie Musculaire = Sphincter pas assez tonique —> Difficulté d’évacuer : Selles très dures et très déshydratées —> Rectum plein au toucher rectal

2.Constipation fonctionnelle —> Causes organiques en lien avec

• Causes organiques (bile qui permet d’évacuer ; colopathie fonctionnelle)

• Troubles psychiques (un enfant qui n’ose pas aller aux toilettes « sales » à l’école va faire une constipation fonctionnelle)

3. Constipation symptomatique :

• Cancer rectal

• Parasitose intestinale

• Fissure anale

• Compression pelvienne (un gros fibrome sur l’utérus peut comprimer le sigmoïde et le rectum)

-       Aliments laxatifs : Augmenter la consommation des produits qui contiennent des fibres (Fruits-Légumes)

-       Monodiète de bouillie cellulosique = balai côlon

(légumes (sans sel) + eau dans un faitout : cuire à l’étouffée à petit feu pendant 2 à 3 heures = bouillie cellulosique avec beaucoup de fibres à Va râper et activer les fibres nerveuses qui arrivent au niveau de l’intestin = permet de balayer l’intestin

-       Douche rectale si régulièrement constipé.e

Poire à lavement (en pharmacie) 1 à 2 fois/semaine à Infusion (camomille romaine ou verveine, thym, fleurs de soucis, fleurs de mauve…) à température du corps à injecter en position debout

-       Naturopathie : Pianto classique (ou cure commando), Radis noir, Pissenlit, Triphala (a un grand rôle au niveau intestinal)

-       Cholagogues : Pissenlit (cholérétique et cholagogue) = permet de fabriquer une meilleure qualité de sels biliaires (la bile va agir sur l’intestin)

Radiographie, endoscopie

Développement favorisé par :

- Prédisposition familiale

- Position assise

- Constipation

- HTA veine porte

- Alimentation épicée

- Grossesse

- Efforts physiques intenses

- Toux intense

- Tensions liées au stress

• Dilatation variqueuse des veines anorectales

• Dilatation veineuse sous muqueuse = Hémorroïdes internes

• Dilatation veineuse sous cutanée= Hémorroïdes externes

- Liés à la procidence (vont sortir) des hémorroïdes entraînant celle de la muqueuse de la région sus-pectinéale = Douleurs ou gêne intermittente (peur de saigner à la poussée)

- Impression de corps étrangers et Souillure du linge

- Prurit et Rectorragies (saignements)

•       Thrombose hémorroïdaire surtout externe = Formation d’un caillot de quelques mm à 2 cm + œdème de la zone touchée (après un accouchement ou en cas de fortes poussées)

•       Fissures

•       Abcès

•       Stade 1 : Nodosités bombées (= hémorroïdes) en cas de poussées avec rectorragies isolées parfois (sang)

•       Stade 2 : Nodosités s’extériorisent hors du canal anal en cas de poussée

•       Stade 3 : Nodosités doivent être repoussées manuellement après défécation : prolapsus réductible au doigt

•       Stade 4 : Nodosités internes ne pouvant pas être repoussées sont recouvertes par la peau ou la muqueuse : prolapsus irréductible

Hémorroïdes

En dehors des poussées : Pas de signes (Parfois suintement).

Pendant les poussées hémorroïdaires : Rectorragies, Sensation de boule anale (quelque chose bloquée)

Signes d’appel :

o   Douleurs (50%)

o   Rectorragies (50%)

o   Tuméfaction anale (25%)

o   Prurit, suintements (25%)

Signes de complication :

o   Douleurs

o   Prurit (démangeaisons) si prolapsus muqueuses (stade 4)

Les veines hémorroïdaires proviennent des veines mésentériques, qui elles-mêmes se rassemblent pour donner la veine porte.

Quand l’intestin envoie déchets+++ au foie

Foie n’arrive pas à s’en sortir = hypertension de la veine porte (beaucoup de déchets)

Le sang est refoulé vers les veines mésentériques, puis les veines hémorroïdaires = crise d’hémorroïde à cause d’une hypertension portale

- Bain dérivatif, Bains de siège

- Régulation alimentaire (supprimer les épices, la charcuterie)

- Intrait de marron d’inde ou Vigne rouge

- Rond de cuir

Hémorroïdes

- Alcool

- Epices

- Stress

- Sports violents (cavaliers, cyclistes, haltérophiles)

- Troubles du transit intestinal

- Efforts exagérés de poussée pour aller à la selle

- Voyage (partir constipé = complications à aller à la selle)

- Chez la femme pendant les règles, grossesses (au 3ème trimestre = 8 % ♀ font thrombose hémorroïdaire), accouchement (20 % ♀ font une thrombose hémorroïdaire).

- Douleur brutale, intense et continue qui ne diminue pas —> Tuméfaction bleuâtre très douloureuse à la palpation + œdème

- Peut se résorber tout seul en 3-4 jours (très douloureux)

- Le caillot peut mettre 2 à 6 semaines pour disparaître.

- Parfois la peau qui recouvre la thrombose va noircir, s’ulcérer, saigner avec évacuation des petits caillots —> Il va rester une « marisque ».

- Il peut y avoir des condylomes (excroissances comparables à des verrues, blanchâtres, rosées ou grisâtres, à crêtes dentelées) sur la marisque.

Ne pas confondre thrombose avec abcès, fissures, condylome, marisque, tumeurs bégnines ou malignes

Extraction du caillot sous anesthésie locale

Le caillot ne migre jamais et ne peut donc pas être à l'origine d'une embolie pulmonaire

Thrombose Hémorroïdaires

Thrombose Hémorroïdaires

Thrombose Hémorroïdaires

(Marisque pédiculée)

Thrombose Hémorroïdaires

(Condylome anal)

(Condylomes = excroissances comparables à des verrues, blanchâtres, rosées ou grisâtres, à crêtes dentelées)

Thrombose Hémorroïdaires

(Tuméfaction bleuâtre / Condylome anal)

(Condylomes = excroissances comparables à des verrues, blanchâtres, rosées ou grisâtres, à crêtes dentelées)

Thrombose Hémorroïdaires

(Marisque)

Petit canal qui va se faire entre le canal anal et la peau de la marge anale —> Il chemine à travers les muscles de l'anus (les sphincters) pour s'ouvrir sur la peau. 

C’est une infection de petites glandes situées à l'intérieur de l'anus (glandes d'Herman et Desfosses)

·         1er stade : Abcès + douleur + fièvre + fatigue

·         2ème stade : L’Abcès perce ou est incisé d’où écoulement de pus

·         3ème stade : Souvent chronicité

Traitement chirurgical ++

FISTULE ANALE

FISTULE ANALE

FISTULE ANALE

FISTULE ANALE

(Abcès)

FISTULE ANALE

(Abcès)

FISTULE ANALE

(Abcès)

FISTULE ANALE

Les petits bourgeons à proximité de l'anus correspondent aux orifices externes d'une fistule par lesquels s'écoule du pus.

La peau qui recouvre la partie basse de l'anus se déchire à force d’avoir des spasmes (fermeture de l’anus) quand la personne va à la selle.

- Douleurs et saignements

- Brûlures lors du passage de la selle —> peuvent persister plusieurs heures après la défécation = Appréhension d’aller à la selle = Constipation

Médicaments antalgiques ou anti-inflammatoires ; Transit intestinal (laxatifs) ; Application d’agents locaux cicatrisants (suppositoires et crèmes) ; Protection de la paroi du canal anal (crèmes et suppositoires)

•       Pianto pour faciliter l’émission des selles

•       Crème avec Huiles végétales (Base de crème au souci ou beurre de karité (100 mg) avec 10 ml HE bois de rose)

•       Faiblesse du tissu conjonctif —> Silice, collagène… Renforcer le tissu conjonctif = Calcarea fluorica 6DH ; Silicea 6 DH

•       Prise en charge psy

Les couches de la muqueuse anale sortent de l’anus

Peut survenir debout ou à la marche

Poussées fortes —> réversibles spontanément ou prolapsus remis de façon manuelle

Va ressortir à chaque poussée = Saignements, Suintements, Incontinence anale

Clinique, radiologie, endoscopie

Il ne faut pas laisse un prolapsus —> Chirurgie ; Accolement muqueuse à la paroi rectale par injections sclérosantes

Rien à faire en naturopathie

PROLAPSUS ANAL ET RECTAL

PROLAPSUS ANAL ET RECTAL

Tumeurs gastriques ou de l’intestin grêle (pas forcément des tumeurs malignes)

Polypes

Tumeurs bénignes intestinales (commencent à saigner à partir d’une certaine taille) —> Pas de douleur

Cancer de l’estomac ouinfection bactérienne de l’estomac ou du duodénum

• Maladie de Crohn

• RCH

• Hémorroïdes

• Fissure anale

• Prolapsus anal

• Polypes adénomateux

• Diverticulose colique

• Grattage

• Rectites

  
  

Toute rectorragie abondante doit être explorée par endoscopie haute

• Toxi-infectieuse

• Staphylocoques

• Salmonelles

• Dysenterie bacillaire = Shigella

• Dysenterie parasitaire = Lamblia

• Colibacilles

• Parasites

• Iatrogène

• Post antibiotiques

• Post laxatif

- Selles liquides, graisseuses, sanglantes

+

- Douleur abdominale et ténesme anal

- Recto-colite hémorragique

- Maladie de Crohn

- Cancer du rectum

Inflammation du côlon et de l’IG

- Infections

- Mycoses

- Parasites

- Allergies toxiques

- Abus de laxatif

- Diverticulose

- Douleur abdominale

- Diarrhée ou constipation

- Pus dans les selles, glaires

- Dissociation alimentaire

- Respiration diaphragmatique

- Relaxation, acupuncture, ostéopathie, magnétisme, réflexologie…

- Plantes adoucissantes, antispasmodique

- Massage abdomen avec HE

Inflammation chronique du côlon qui va atteindre le rectum+++, le sigmoïde.

Très rarement l’iléon terminal

—> Rectite 40% (inflammation du rectum)

—> Rectosigmoïdite 30% (inflammation du rectum et du sigmoïde)

OUI, souvent

Chez l’homme jeune souvent

C’est une maladie chronique qui évolue par poussées.

Le Stress peut déclencher des poussées, des lésions de la RCH

Appendicectomie et Tabac

—> Vont diminuer les symptômes de la maladie

Rectocolite hémorragique

ou colite ulcéreuse

Muqueuse érythémateuse avec lésions granuleuses saignantes au contact

Rectocolite hémorragique

ou colite ulcéreuse

• Rectorragies+++ (saignements)

• Diarrhée avec glaires + sang (glairo sanglante)

• Ténesme (envie d’aller à la selle mais rien ne sort)

• Douleurs abdominales avant d’aller à la selle

• Anémie = Perte de sang importante à Carence en Fe et GR

Colite aigue grave

Perforation du côlon

Hémorragie digestive

Déminéralisation (complications osseuses)

Problèmes articulaires (Arthrite)

Uvéite (inflammation de l’uvée de l’œil)

Hépatopathie (problème hépatique)

Cancer local

Mégacôlon toxique

Complications nutritionnelles

Erythème noueux

1. Suppression

- laitages

- gluten

- excès fibres

- excès viandes

2. Dissociations pour mise au repos du rectum

3. Relaxation

4. Cf même protocole pour la maladie de Crohn

Cocktail et prendre en plus de la Boswellia (effets anti-inflammatoires et immunomodulantes)

+ Phycocyanine (pour faire remonter le Fe)

Rectocolite hémorragique

ou colite ulcéreuse

Tumeurs de petite dimension dans l’intestin —> Vont grandir dans la lumière intestinale = Peuvent avoir plusieurs stades :

• Stade Sessiles = Bénins

• Sessiles Pédiculés (petit pied) = Malins la plupart du temps

Les polypes ont tendance à devenir malins (25 % des + 60 ans)

Stade de l’adénome : Bénin et asymptomatique la plupart du temps —> Peut devenir malin !

⚠ Si lésions, hémorragies anales —> Recto et coloscopie avec ablation + Examen histopathologique

Diagnostic différentiel :

Polypes néoplasiques ; Polypes non néoplasiques ; Autres causes de saignement anal

Traitement :

Ablation endoscopique ou chirurgie

Si plus de 10 polypose colorectale = maladie « polyadénomatose recto-colique familiale » (=PARC)

—>  polypes enlevés, analysés + coloscopie tous les ans

Polypes possibles dans l’estomac mais pas de diverticules

Polypose colique

Polypose colique

4 types de polypes rectocoliques

Les adénomes peuvent dégénérer.

Les cellules malignes, vont dans les ganglions lymphatiques !!!

Polypose colique

Polypose colique

Polype pédiculé

Polypose colique

Polype pédiculé

Polypose colique

Polype pédiculé

Polypose colique

Polypes BÉNINS = bon pronostic

Infiltration MALIGNE : dépend du stade de la tumeur ; Possibilité d’une formation « de novo » ;

Suivi régulier de rigueur

Si cellules malignes, vont dans les ganglions lymphatiques = Grosse CATA !!!

•       Correction alimentaire : Les polypes arrivent lorsqu’il y a des carences en fibres

•       Antioxydants —> Maladie inflammatoire chronique

•       PIANTO (dès problème intestinal !!), Bio ST Joseph D/I,

•       Psyllium blond téguments (pour les fibres)

•       Anti-tumoraux : Lapacho++

•       Maitaké

Polypose colique

Polypose colique

Polypose colique

Polypose colique

Polypose colique

En nette augmentation depuis 10 ans.

Elles sont dues à une alimentation pauvre en fibres = stagnation des matières fécales —> entraîne une augmentation de la pression à l’intérieur de la lumière colique et au bout d’un certain nombre d’années, la muqueuse peut faire une hernie à travers la musculeuse (fait un trou et sort de la muqueuse) dans les zones de faiblesse = formation des diverticules

Inflammation des diverticules par microperforations

Localisées dans tout le colon jusqu’au côlon ascendant, MAIS le plus souvent au niveau du sigmoïde++.

•       Soit asymptomatique

•       Soit diverticulose douloureuse (diverticulite) = Douleurs hypogastriques dans fosse iliaque gauche

Diverticulite aigüe = Fièvre, douleurs hypogastriques le plus souvent à gauche, modification du transit (diarrhée/constipation), occlusion possible à Hôpital

Diagnostic : Labo : VS Leuco ; Coloscopie, Lavement baryté ; Échographie = gros  épaississement de la muqueuse

Diagnostic différentiel :

Appendicite ; Endométriose ; Cancer du colon ; Pathologie gynéco : kyste ovarien rompu ;

Diverticulose

Alimentation riche en fibres douces (Psyllium blond entre les crises) + Hydratation (Apport suffisant de liquides)

Diverticulite aigüe :

• Repos au lit

• Antispasmodiques, antibiotiques, analgésiques

• Pas de fibres en cas de diverticulite aigue

I. Une faiblesse des tissus de soutien

Avec l’âge, le tissu conjonctif autour des vaisseaux s’affaiblit —> Permet plus facilement à la muqueuse  de sortir = hernie (chez seniors++)

II. Une augmentation de la pression dans la lumière intestinale

Alimentation pauvre en fibres = Selles de petit diamètre —> Besoin de grosses contractions pour les expulser —> Va engendrer une hyperpression dans la lumière intestinale —> La pression va pousser la muqueuse qui va sortir en traversant les fibres musculaires.

Les zones de faiblesse sont les vaisseaux et des fibres nerveuses.

Les diverticules perdurent, pendant des 10, 20, 30 ans sans conséquence décelable MAIS de temps en temps, constipation, douleurs dans la fosse iliaque gauche ou colopathie fonctionnelle.

Le plus souvent, l’ulcération se produit plus lentement ; les tissus voisins vont réagir à l’inflammation engendrée autour du diverticule —> Epaississement de la muqueuse + Adhérences pour limiter la diffusion de l’infection, et empêcher la survenue d’une péritonite.

Si l’infection est importante, si le diverticule est perforé dans cette réaction de voisinage, il se produit un abcès autour du côlon qui peut se rompre dans la cavité péritonéale.

La rupture de l’abcès peut se faire près d’un organe (vessie surtout, mais aussi vagin, intestin grêle ..), créant une fistule,

= canal qui va relier les deux organes (côlon à la vessie, côlon  à la voie vaginale, côlon à l’intestin grêle) —> infections urinaires à répétition, présence de gaz dans les urines…

Le processus inflammatoire peut être chronique (sur plusieurs mois), silencieux.

Il devient apparent à un stade très avancé à cause de douleurs, constipation tenace... Cette importante réaction inflammatoire, forme une masse qui ressemble à une tumeur, simulant un cancer —> Ce sont des matières fécales parfois très dure, très volumineuse = Un fécalome.

Les diverticules se remplissent de matières fécales :

• soit il y a infection = Complications infectieuses le plus souvent.

• soit les matières fécales durcissent et forment de petits cailloux, les « stercolithes » qui vont ulcérer la muqueuse et faire saigner.

Parfois le diverticule se perfore en quelques heures dans la cavité péritonéale = péritonite (comme une appendicite peut se perforer rapidement) = Forme très grave, car les matières fécales se répandent dans le ventre —> Rare (5% environ de l’ensemble des complications Infectieuses)

Diverticulose

Diverticulite

Diverticulose

Diverticulose

Diverticulose

Diverticulose

Diverticulose

3 à 5% de la population

La plus souvent : Adénocarcinome, généralement au niveau du rectum et sigmoïde.

Dépendant des habitudes alimentaires

Elles forment une paroi très difficile à pénétrer même avec la chimiothérapie. Pour éviter que le système immunitaire ne les repère, elles vont fabriquer des molécules pour recruter des lymphocytes régulateurs. Dans une tumeur, il y a plein de lymphocytes régulateurs —> les autres lymphocytes LT1-LT17 ne viennent pas car tout va bien ! = la tumeur progresse. 

OUI

Utilisation d’une chimio sélective qui va attaquer telles ou telles cellules cancéreuses.

Mais il y a toujours 1 à 2 types de cellules qui restent.

4, 5 ans plus tard, ces cellules qui n’ont pas été attaquées par la chimio, repartent = Récidive 

Symptômes : Asymptomatique possible

Symptôme primitif : Hémorragie par voie anale et saignement occulte dans les selles

Symptômes tardifs : Constipation/Diarrhée, occlusion, perte de poids, douleurs abdominales

Diagnostic : Examen selles, toucher rectal, anuscopie, rectoscopie, coloscopie, lavement baryté, recherche des ACE, écho-endorectale.

Cancer du côlon

Cancer du côlon

Cancer du côlon

Cancer du côlon