Linguistique

• 2 êtres vivants en coprésence

• procesus social permanent

  
  

• Capacité universelle, spécifique à l’être humain de pouvoir communiquer au moyen d’un système de signes vocaux mettant en jeu une technique corporelle complexe

• Faculté humaine d’exprimer une pensée via la parole, le geste ou l’écrit et de constituer une langue

• inné

• instrument de communication, système arbitraire ou conventionnel de signes propre à un groupe donné

• acquise

• abstraction, manifestation d’une faculté propre à l’humain (langage)

• réalisation concrète de la langue

• actualisation de la langue par emission vocale, acte individuel de volonté, espace de liberté

entre 5 000 et 8 000

• Chinois : 897 millions de locuteurs Espagnol : 437 millions de locuteurs Anglais : 371 millions de locuteurs Hindi-Urdu: 329 millions de locuteurs Arabe : 290

lorsqu’un terme, symbole, son etc. créer une signification

• système constitué d’éléments dépendant les uns des autres. Ils sont défini en opposition à d’autres

• résultat d’une convention sociale transmise par la société à

« mère » acquiert son sens parce qu'il s'oppose à

père, fille, grand-mère, etc.

à la description et à l'analyse tant des unités fonctionnelles qui le composent sur la base des relations paradigmatiques, que relations syntagmatiques

• relations d'opposition

• relations qui s'établissent entre les

  différents éléments qui composent une structure

utilisation personnelle de la langue

• Étude scientifique générale des langues et de leur structure, et du langage humain en tant que moyen de communication et d’expression.

• Science qui a pour objet l'étude du langage, des langues envisagées comme systèmes sous leurs aspects phonologiques, syntaxiques, lexicaux et sémantiques.

• outil de description scientifique neutre qui ne tient pas compte des valeurs personnelles associées à la perception d’une langue ou d’une population.

• Morphologie

• Phonétique

• Phonologie

• Sémantique

• Syntaxe

étude des formes des mots (Dict. de linguistique Larousse)

étude de la substance des unités vocales utilisés dans les langues humaines

science qui étudie les sons du langage du point de vue de leur fonction dans le système de communication linguistique

étude du langage considéré du point de vue du sens

étude des règles qui président à l’ordre des mots et à la construction des phrases dans une langue

• aménagement linguistique

• analyse de discours

• dialectologie

• ethnolinguistique

• lexicologie

• neurolinguistique

• psycholinguistique

mise au point d’un processus de décision sur la langue pra un état ou un gouvernement, qui résulte en une politique linguistique

détermination des règles commandant la production des suites de phrases structurées

description comparative des différents systèmes ou dialectes dans lesquels une langue se diversifie dans l’espace et d’établir une limites

étude de la langue en tant qu’expression d’une culture

science des unité de signification (monèmes) et de leurs combinaisons en unités fonctionnelles

science qui traite des rapports entre les troubles du langage (aphasies) et les atteintes des structures cérébrales qu’ils impliquent.

étude scientifique des comportements verbaux dans leurs aspects psychologiques

arrivée de l’imprimerie

• transmission de sens entre deux individus

• encodage > transimission > décodage

• émetteurice > message (avec référent) qui passe par un canal et un code (langue) > récepteurice

• matériel transmis par l’interlocuteurice = l’information transmise

• varie dans sa durée, sa forme et son contenu

• adapté dans les interaction individualisées

• rigide et standard dans les communications institutionnalisées

• canal physique et psychologique qui relie le destinateur et destinataire

• nature conditionne le message

• peut-être modifié pour vaincre l’effet du temps (livres, journaux, magazines, disques, messages vocaux …)

• situation à laquelle renvoie le message, ce dont il est question(le contexte)

• informations communes aux 2 locuteurices au moment de la communication

• informations sous-entendues

• code est un ensemble conventionnel de signes sonores ou écrits, linguistiques ou non linguistiques (visuels ou autre), communs en totalité ou en partie au destinateur et au destinataire. (Leclerc 1989)

• doit être compris par les deux locuteurs pour permettre la transmission du message.

• Référentielle

• expressive/ émotive

• conative/ impressive/ incitative

• phatique/ de contact/ relationnelle

• métalinguistique/ basée sur le code

• poétique/ esthétique

• fonction première du langage qui est d'informer, d'expliquer, de renseigner

• renvoie au référent, à la personne ou au sujet dont on parle

• relié à la véracité du message en question

• centrée sur le destinateur qui manifeste ses émo ons, son affectivité

• Axée sur le « je »

• englobe également l'acquisition d'expressions, d'un style, d'une façon bien personnelle de s'exprimer (onomatopées, les jurons, les formes exclama ves en général, les adjec fs à valeur expressive, etc.)

• axée sur le destinataire, donc sur le «tu»

• modifier le comportement du destinataire, pour ordonner, pour interdire, pour inciter

• repérable à l’emploi de la 2e personne du singulier et du pluriel, de l’impératif et de la tournure interrogative

• maintenir et de développer des contacts entre individus

• fonc on sociale du langage et est cons tuée de tous les éléments qui perme ent d’établir ou de maintenir le contact à l’oral

• À l’écrit, elle est marquée par la ponctuation, les aticulations logiques et chronologiques.

• assure l’intelligibilité du message

• explication du code utilisé, des conventions que l'on utilise pour communiquer

• utilisation du langage pour s'expliquer, c'est-à-dire pour expliquer le code de la langue

• Dans la fonc on métalinguistique, les guillemets sont souvent utilisés pour distinguer les mots prononcés de l'énoncé

• message dont la forme importe autant que le fond

• caractéris que des différentes formes de littérature

• figures rhétoriques

• les fonctions proposées existent rarement à l'état pur, la fonction d’un message est seulement celle qui domine

• Kerbrat Orecchioni

• voir la langue comme un instrument de communication

• concept d’idiolecte pour remplacer l'idée de code

• communication est basée sur l'interaction de deux idiolectes

codes partagés par un groupe dans un cadre social plus large

manière particulière dont chaque individu use de ces codes

• Problème de l’homogénéité du code : les locuteurices partagent pas un code homogène même s'ils parlent la même langue, mais ils partagent des idées idiolectales pour communiquer.

• Problème de l’extériorité du code : compétences requises = linguistique, paralinguistique, non-linguistique, discursive

• Problème du canal unique : le schéma est multicanal, puisque le message n'est pas seulement verbal, mais implique également des comportements paraverbaux.

• Problème de statisme : le message donné par le destinateur n'atteint pas seulement le destinataire, mais que le destinateur lui-même fonctionne comme un premier destinataire car la communication est réflexive.

• temporelle (ou diachronique) : évolution à travers le temps

• géographique (ou diatopique) : évolution à travers l’espace

• sociale (ou diastratique) : évolution selon le milieu social

• stylistique (ou diaphasique) : évolution en fonction de la situation dans laquelle iels se trouvent

• diamestique : variation entre l’écrit et l’oral

• élevé ou cultivé : variété sociale caractérisée par l'utilisation de ressources linguistiques diverses et élaborées.

• moyen : variété ayant un degré moyen de connaissance de la langue.

• bas ou vulgaire : variété sociale définie par une mauvaise maîtrise de la langue.

un·e locuteurice ayant un bon niveau de maîtrise de la langue est capable d'utiliser le registre le plus approprié pour chaque situation de communication.

En revanche, un·e locuteurice ayant un niveau vulgaire utilise toujours la langue de la même manière - la seule qu'il connaisse - quelles que soient les conditions de la communication. L'utilisation de vulgarismes montre le manque d’éducation linguistique du·de la locuteurice.

• familier

• courant

• soutenu

• familier : modèle oral, avec les proches, parole spontanée, absence de hiérarchie et de contraintes

• courant : langue standard, certaine distance avec l’interlocuteurice, échanges neutres dans des criconstances quotidiennes (école, travail ou médias)

• soutenu : modèle écrit, environnement social cultivé, marque de politesse, parole non spontanée, rapport hiérarchique

• familier : vocabulaire de la vie quotidienne, termes familiers ou argotiques (voire grossiers)

• courant : vocabulaire usuel, pas de termes recherchés ou spécialisés

• vocabulaire riche, recherché et spécialisé (parfois rare), termes littéraires, poétiques

• familier : abréviations, ruptures de construction, répétitions, ellipses, suppression de “ne” dans les négations, pas de concordance des temps

• courant : respect des règles de grammaire, emploi des temps simples de l’indicatif, phrases coordonnées et phrases subordonnées simples

• soutenu : respect des règles de grammaire, emploi des temps “complexes”, concordances des temps, constructions complexes

• familier : syllabes avalées

• courant : standard

• soutenu : articulation soignée et respect des liaisons

• familier : exagération (hyperboles), périphrases, expressions toutes faites

• courant : ton neutre, peu d’effet de style

• soutenu : métaphores, chiasme, recherche d’effets de style

Langue utilisée dans un domaine et caractérisée par l’utilisation de moyens d’expression linguistiques particuliers (= terminologie, phraséologie et stylistique propre.)

variété de la langue générale dont le caractère linguistique est global mais restreint par la spécialité, a une fonction linguistique de communication, indique une appartenance à une spécialité et met l’accent sur l’information et la connaissance.

• Développement des sciences et des technologies : émergence de nouveaux concepts qui nécessitent des nouvelles dénominations.

• Développement des relations internationales, politiques, culturelles et économiques > besoin de faciliter la communication entre les pays.

• Transfert de connaissances et de produits : émergence de nouveaux marchés pour les échanges scientifiques, techniques, culturels et commerciaux.

• Développement de l'information : nécessité de créer des bases de données continuellement mises à jour et faciles d'accès.

• Développement des médias de masse : large diffusion de la terminologie, ce qui entraîne une interaction fréquente entre le lexique général et le lexique spécialisé.

• Intervention des pouvoirs publics en matière linguistique : inclusion de la terminologie dans les plans de normalisation linguistique et la création d'organismes officiels chargés de la gérer.

• Le sujet (thématique) spécifique

• La canal de communication, de préférence l’écrit

• Le niveau formel du langage

• Objectivité dans le langage

• Générale : ensemble de ressources utilisées par la majorité des locuteurs d'une langue. (déf. : Instrument de communication, système arbitraire ou conventionnel de signes propre à une communauté donnée.)

• Langues de spécialité :

  • un sous-ensemble de la langue générale

  • avec des caractéristiques communes avec la langue générale

  • qui sont utilisées comme instrument de communication formelle et fonctionnelle entre spécialistes d'un domaine particulier

• générale : Fonction conative, émotive et phatique (mais aussi référentielle, poétique et métalinguistique)

• spécialité : référentielle

ce qui ne fait pas partie des connaissances générales des locuteurices d’une langue et qui ont fait l’objet d’un apprentissage spécialisée.

• Degré d’abstraction : dépend du sujet lui-même, des destinataires et des fonctions de communication voulues par l’émetteurice.

• Objectifs de communication : déterminent différents types de textes en fonction des fonctions à remplir.

• universalité ou généralité

• objectivité

• exactitude et précision

• cohérence et pertinence

• vérifiabilité

• ordre logique et structuration claire

• fonction linguistique : référentielle

• Pas uniforme : chaque branche de la connaissance, chaque discipline, utilise son propre langage.

• Utilisé uniquement dans un domaine de leur activité.

• Objectivité, universalité et vérifiabilité.

• Registre cultivé : niveau élevé de correction syntaxique, clairs, concis et lexique monosémique.

• Clarté : simplicité syntaxique marquée

• Formes expressives spécifiques à la discipline.

• Vocabulaire scientifique : création de néologismes

• subordonnées adjectives explicatives

• incises, appositions, parenthèses entre virgules, tirets et parenthèses

• résumés, clarifications et définitions après 2 points

• liens explicatifs extra-oraux

• répétitions de mots déconseillées

• phrases énonciatives

• constructions impersonnelles et passives

• constructions nominales

• article à valeur généralisatrice

• présent scientifique

• substantifs abstraits

• termes techniques

• dérivation et composition

• emprunts

• énonciation de la thèse

• bloc argumentatif

• conclusion