auteur distinction DI public et privé (3)
Jeremy Bentham
Introduction to the Principles of Morals and Legislaton
1780/1781
Définitions du DIP (3) + problèmes (2-1-2)
par son objet: relations internationales
problème 1: objet potentiellement illimité
problème 2: relations internationales aussi gouvernés par d’autres facteurs
par ses sujets: acteurs de la société internationale
problème: potentiel illimité de sujets
par son origine: droit issu de l’ordre juridique international
problème 1: droit interne d’origine international
problème 2: droit international d’origine interne
Notre définition du DIP
DIP = ensemble de règles produites par les différents sujets de droit international, à titre principale les États et les entités auxquels ils ont reconnu un pouvoir normatif
Grandes écoles en DIP (2 + détails)
doctrine volontariste
DIP issu des volontés des États
traité: volonté expresse
coutume: volonté tacite
doctrine objectiviste
DIP existe en dehors la volonté par un principe supérieur
pensée de droit de nautre
auteurs qui réflichissent sur le DIP (3)
Hugo Grotius
Samuel Pufendorf
Emer de Vattel
Hugo Grotius (4)
1583-1605
“Droit de la guerre et de la paix”
droit naturel dérivé de la logique
droit naturel et droit volontaire (le dernier subordonné)
Samuel Pufendorf (3)
1632-1694
droit naturel et droit volontaire
subordination approfondie
Emer de Vattel (5)
1714-1767
“Principes de la Loi Naturelle”
fondateur du positivisme
DIP comme droit positif
droit naturel comme droit idéal
Congrès de Vienne
date
objet
septembre 1814- juin 1815
traité d’alliance
Concert européen
1815-1907
série de conférence entre pouvoirs (d’abord) européens
Système de Westphalie (2)
2 traités de Westphalie de 1648
principe de souveraineté égale
ius inter gentes, ius inter gentium, droit des gens
droit des gens: synonyme de DIP
ius inter gentium: droit romain interne applicable aux non-citoyens
ius inter gentes: droit qui régit rapport entre États
conférence de Versaille
date précise
28 juin 1919
traité de paix Allemagne - Alliés
conférence de Munich
29 septembre 1938
SDN
acte constitutif
date de création
but
traité de Versailles
création 1919
but: OI à vocation universelle pour maintenir la paix
souveraineté interne (def)
puissance suprême de gouverner, commander et décider sur les personnes qui se trouvent dans le territoire
souveraineté externe
fait d’être non soumis à une autorité supérieure
hiérarchie du DIP (4)
pas de pyrmide de Kelsen (pas de constitution)
équivalence de toutes les sources du DIP
lex posterior, lex specialis
mais: ius cogens
arguments pro et contre DIP comme droit (4 chacun)
1) pas de constitution - principes constitutifs (souveraineté, pacta sunt servanda)
2) absence de législateur - modes de formation
3) absence de sanction - modes de réalisation
4) absence de juge - juridictions internationales
def: sujet de droit
entité qui peut être titulaire de droits et débiteur d’oblgiations
def: titre territorial
= fondement légal du pouvoir d’un État sur un espace
titre territorial: panorama des modes (2 grand + 3 petit)
1) acquisition de terre vierge: occupatio
2) acquisition dérivé
sécession
substitution
fusion
scission
terre vierge (3 synonymes)
territoire primitif
terre appropriable
terre sans maître
déf: sécession
une partie d’un État prédécesseur devient nouvel État, État prédécesseur survie avec territoire moins important
sécession: 4 examples
Yougoslavie (Slovénie, Crotie, BiH etc)
Pakistan (Bangladesh)
Soudan (Sud-Soudan)
Décolonisation
substitution déf
État prédécesseur disparait et est substitué par un/plusieurs nouvel/nouveaux États
fusion (def + 1 ex)
plusieurs états prédécesseurs deviennent un nouveau État
13 colonies britanniques -> États-Unis
scission (def + 2 ex)
d’un état prédécesseur naissent plusieurs États, l’état prédécesseur ne survie pas
ex: Monarhie austro-hongroise
ex: Tchécoslovaquie
Selbstbestimmungsrecht der Völker (fr)
droit des peuples à disposer d’eux mêmes
fondement juridique droit des peuples à disposer d’eux mêmes (4)
art 1 para 2 de la charte
résolution 1514 de l’assemblée générale (1960)
CIJ affaire présence continue de l’Afrique du Sud en Namibie (27 juin 1971)
CIJ affaire Timor oriental (30 juin 1994)
résolution 1514
1960
reconnait droit des peuples à disposer d’eux-mêmes
affaire présence de l’Afrique du Sud en Namibie
date précis
27 juin 1971
affaire timor oriental
30 juin 1994
droit des peuples à disposer d’eux mêmes comme norme erga omnes
3 éléments
territoire
population
autorité centrale
efective
indépendante
Conséquence juridiques de l’existence d’un État (2 grand: 1, 3+1)
possibilité de reconnaissance
acquisition d’un statut étatique
dans l’ordre international:
personnalité juridique internationale
souveraineté internationale
libertés étatiques
dans ordre juridique étranger
immunités étatiques
déf reconnaissance
acte unilatéral par lequel un État atteste à son égale l’existence d’une situation de fait et accepte d’en tirer les conséquences juridique
Libertés étatiques (3)
liberté originaire totale
liberté résiduelle
théorie de l’auto-limiation
limites à l’auto-limitation (3 + détails)
conception formelle de souveraineté: pas de limites
CPJI affaire Vapeur Wimbledon (17 août 1923)
conception matérielle de souveraineté: limites
doctrine de droit fondamentaux de l’État
souveraineté permanente sur ressources naturelles
France
conseil constitutionnel: limites à l’auto-limitation:
traité qui porte atteinte à exercice de la souveraineté est contraire à la souveraineté
affaire Vapeur Wimbledon
18 août 1923 (CPJI)
pas de limites à l’auto-limitation
présomption de liberté de l’État (2)
CPJI affaire Lotus (1927)
tribunal arbitral affaire Lac Lanoux (16 novembre 1957)
affaire Lac Lanoux
autorité
16 novembre 1957
tribunal arbitral
souveraineté territoriale fonctionne comme présomption qui fléchit (que) devant obligations internationales
affaire Lotus
1927
CPJI
il n’est pas présumé qu’un État a pris un engagement qui limite sa liberté
principe de non-ingérence
fondement juridique
portée
art 2 para 7 de la charte
si un État n’a pas pris un engagement dans une domaine, les autres États ne peuvent pas se mêler
idées derrière immunités (2)
souveraineté égale
par in parem non habet imperium
immunité de l’État
fondement juridique (2)
droit interne
projet de codification: Convention des NU sur immunités juridictionnelles des États et de leurs biens de 2005
immunité de l’Étt
contenu (2)
immunité restreinte
immunité pour acta iure imperii (rattachées à souveraineté)
pas d’immunité pour acta iure gestionis
distinguer acta iure imperii et gestionis (2)
nature de l’acte
but de l’acte
affaire conernant immunité des États
CIJ, affaire immunités juridictionnelles de l’État
Allemagne contree Italie
Affaire “Immunités juridictionnelles de l’État”
3 février 2012
CIJ
violation d’immunité par Italie en condamnant Allemagne car immunité vaut même en cas de violation de ius cogens
immunité de l’État, titulaire (5)
(varie selon le pays, souvent:)
État comme tel
subdivisions politiques (régions etc)
organes du gouvernement
entités habilitées de pouvoir souverain
immunité d’exécution: en princpie tous les biens de l’État
relations diplomatiques
relations consulaires
diplomatique: entre représentants d’État
consulaire: entre un État et ses ressortissants
immunité des agents étatique
findement (3)
surtout droit international (coutume)
Convention de Vienne sur les relations diplomatiques (1961)
Conventoin de Vienne sur les relations consulaires (1963)
dates
Convention de Vienne sur les relations diplomatiques
Conventoin de Vienne sur les relations consulaires
diplomatiques: 1961
consulaires: 1963
immunité diplomtique, contenu (3)
pénale: immunité totale
civile:
en principe immunité totale,
certains exceptions (immobilier, succession, activité professionnelle propre)
immunité consulaire, contenu
pénale: immunité seulement pour actes en service
civil: seulement pour actes en service, jamais pour accident routier
espace territorial
synonymes (2)
critère pour qualifier (3)
espace étatique, espace national
critères:
règle d’effectivité: pouvoir sur le territoire
précis: dominium exclusif + imperium au moins concurrent
dominium (2)
pouvoirs réels (pouvoir d’un État sur un espace)
exclusif
imperium
pouvoirs personnelles (pouvoir d’un État sur une population)
exclusif ou concurrent
condition nécessaire mais pas suffisante pour être espace territorial
éléments des espaces territoriaux (3 grand: 3-4-0)
territoire terrestre
terres émergés
eaux intérieurs
voix d’eau internationales
territoire maritime
mer territoriale
zones économiques exclusives
plateau continental
zone contigu
territoire aérien
terres émergés (2)
sol
sou-sol
eaux intérieurs (3)
lacs
mers intérieurs
eau entre rivage et ligne de base
Vois d’eau internationales
fleuves internationaux
canaux internationaux
taille
statut
entre ligne de base et max 12 milles marins
territoire étatique -> tous les pouvoirs souverains
ZEE
=
statut (2)
à partir de la mer territoriale jusqu’à maximum 200 milles marins de la ligne de base
statut:
pouvoirs quasi-territoriaux
exploitation et règlementation de ressources naturelles
taille (4)
après
fond marin jusqu’à rupture brutale
réglé dans Convention de Montego Bay
en principe max 200 milles marins à partir de la limite de la mer territoriale
mais: plus loin possible arbitrage Comission des limites du plateau continental
compétence fonctionelle de l’État
exploitation de ressources naturelles
après: grans fond marin (espace international)
Convention de Montego Bay
autre nom + année
Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (CNUDM)
1994
Convention des Nations Unies sur le droit de la mer (autre nom)
Convention de Montego Bay de 1994
Zone contigu
24 milles marins depuis la ligne de base
pouvoirs de police (poursuite, arrestation) et pouvoirs de douane
textes (2)
Convention de Paris 1917
Convention de Chicago (1944)
Statut: appartient à l’État, souveraineté complète et exclusive
question ouverte: limite verticale
espace territorial ≠
espace international
= espace libre
statut des espaces internationaux (2)
aucun dominium
imperium non-exclusif de plusieurs
lien de rattachement: personnelle ou matérielle (activité), parfois universelle
“lead case” compétence territoriale (4)
affaire Ile de Palmas
sentence arbitrale
arbitre unique Max Huber
4 avril 1928
contenu de la compétence territoriale (3)
affaire Ile de Palmas:
Plénitude des compétences
Exclusivité des compétences
conséquences de la compétence territoriale (4)
(= conséquences de plénitude et exclusivité)
interdiction d’intervention
interdiction de l’intrusion sur le territoire
obligation de protéger à l’intérieur du territoire les droits des autres États
obligation d’utilisation non-domageable du territoire
non-ingérence
= interdiction d’intervention
art 2 para 7 Charte de l’ONU
obligations de l’État territorialement compétent (2)
jurisprudence affirmant obligation d’utilisation non-dommageable du territoire (2, y compris dates)
affaire Fonderie du Trail (1938)
affaire Projet Gabcikovo-Nagymaros (1997)
La condition des étrangers - sources (6)
coutume (standard minimum de traitement et de protection)
traités de commerce
conventions d’établissement
traités d’extradition
Conventions sur réfugies et apatrides
TBI (protection d’investissement)
conventions sur réfugiés et apatrides (2, y compris date)
Convention de Genève relative au statut des réfugiés (1951)
Conventon des Nations Unies sur l’apatridie (1954)
convention d’établissement
= traité qui fixe conditions d’une activité d’une entreprise sur le territoire d’un État
standard minimum de traitement et de protection
traitement discriminatoire ou arbitraire
déni de justice
protection des attentes légitimes
relation compétence personnelle et territoriale
subsidiarité de la compétence personnelle
règles sur nationalité
2 grands principes
+ conséqeuences (3)
liberté
-> double nationalité
-> apatridie
effectivité
sinon: inopposable
effet juridique d’une nationalité non-effective
nationalité devient inopposable
décidée par CIJ, Affaire Nottebohm (6 avril 1955)
nationalité de personnes morales (3 critères + une spécificité)
enregistrement
siège social
contrôle (contesté)
pas de critère d’effectivité!
nationalité d’une personne morale fondée sur le contrôle?
CIJ, Affaire Barcelona Traction (1970): non
rattachement des engins et véhicules
besoins (2)
critère
problème + solultion
soumission à un seul régime juridique
peuvent causer dommages graves
critère: enregistrement
problème: forum shopping
solution: conventions
protection diplomatique, définition (4)
particulier d’un État est lésé
par un fait internationalement illicite d’un autre État
-> État de nationalité peut prendre fait et cause pour son ressortissant
-> État de nationalité endosse la réclamation de son ressortissant
date, covention européenne des droits de l’Homme
1950
Conditions d’exercice de la protection diplomatique (3)
nationalité
épuisement de voies de recours internes
règle des mains propres (plutôt question de fond)
Modalité de l’exercice de la protection diplomatique (2)
compétence discrétionnaire
modes pacifiques de règlement de différends
Rapport entre les compétences des États
principe: concurrence de compétences
pas de règle de conflit en DIP
exception: conventions de coopération
entraide judiciaire et policière
lutte contre le terrorisme
extraterritorialité - légitmie ou non? (2)
compétences normatives: pas attentatoirea la souveraineté, concurrence de compétences normatives
compétences d’exécution: attentatoire, seulement l’État territorialement compétent (ou avec son consentement)
Lutte contre terrorisme en DI (4)
pas de convention générale pour lutte contre terrorisme mais plusieurs pour plusieurs aspects
conventions visant criminalisation
conventions visant établir compétence
conventions visant poursuite ou extradition
Exemples de conventions pénales internationales (4, avec année)
Convention eurpéenne d’extradition de 1957 (Conseil d’Europe)
Convention de Strasboug de 1977 pour la répression du terrorisme entre les États membres du Conseil de l’Europe
Convention des Nations Unies de 1988 contre le trafic de stupéfiants et de substances psychotropes
Convention de 1989 sur le mercenariat
combien d’ONG ajd?
plus que 300
synonyme OI
OIG = organisation inter-gouvernementale
Histoire des OI
3 grandes phases: 2-2-2 (parfois avec sous-points)
début de l’institutionnalisation au 19e siècle
dès 1815: congrès de vienne et concert européen
2 types d’OI techniques:
commission fluviales
Unions adminstratives
entre 2 guerres, mouvement “paix par le droit”
société des nations
organisation du travail
après SGM
création OI universels
ONU
institutions spécialisées de l’ONU
création OI régionales
Commissions fluviales (= + 2 ex)
= OI de gestion fluviale
Commission centrale pour la navigation du Rhin
Commissoin européenne de la Danube (traité de Paris 1856)
Unions adminsistratives (= + 2 exemples (avec date))
= OI de télécommunication
Union télégraphique internationale (1865)
Union postale universelle (1878)
Société des nations
création (acte, date, contexte)
ojectif
particularité
acte annexé au traité de versailles
contexte: 14e point des 14 points de Wilson
objectif: assurer frontières du traité de Versailles
première OI à vocatio universelle
OIT
acte + date de création
particularités (2)
première OI à vocation sociale
répartition tripartite (salariés, employeurs, états)
exemples d’institutions spécialisées de ONU (5 (appréviations et matière))
OIT (travail)
OMS (santé)
UNECO (culture)
AFAO (alimentation et agriculture)
OACI (aviation civile)
définition OI
association d’états
constitué par un traité
doté d’organes propres
possédant une personnalité juridique internaitonale distincte de celle des États membres
OI qui n’est pas composé d’états
Banque des règlements internationaux: membres sont les banques centrales
possibilités de participation dans une OI (3 statuts)
membre: participation entièe
associé: comme membre mais pas de droit de vote
observateur: droit lmités
exemples pour OI ouvertes au membres non-étatiques (2)
OMC (territoires douaniers autonomnes)
UNESCO
droit de retrait d’une OI?
ajd reconnu comme prérogative souverain
Indonésie quiite ONU en 1965
UE: art 50 traité sur l’UE (TUE) depuis Lisbonne (2007)
spécificités du traité qui fonde une OI (3)
nature constitutionnelle (fonde un nouveau sujet de DIP)
opposable aux entités non-parties
réserves pas possible
organes d'une OI (typiquement)
organe permanent restreint
un secrétariat
un organe plénier
distinction des organes d’une OI
par création (2)
par composition (3)
par création
organes originaires: par la chare
organes subsidiaires: par un actes des organes originaires
par composition
organes composés de représentants des gouvernements
plénier
restreint
organes composés d’agents internatinoaux
organes composés de représentants de forces politiques et économiques
organes restreints et souveraineté - compatible (4)
doit toujours avoir un organe plénier dans l’OI
puis 3 possibilités
soumission à l’organe plénier
ex Conseil économique et social (sous AG)
désignation des membres par l’organe plénier
ex Commission européenne
restriction de la compétence
seulement décisions moins importantes
ex organe composé de représentans de forces politiques et économiques (3)
conseil économique et social de l’ONU
parlement européen
représentation tripartite dans l’OIT
personnalité juridique internationale de l’ONU (4)
pas de règle dans la charte, seulement art 104 qui accorde personnalité de droit interne
CIJ, Affaire Bernadotte (avis consultatif, 11 avril 1949)
faits: assassinat à Jérusalem du médiateur envoyé des Nations Unies; veulent exercer protection diplomatique
décision: personnalité juridique implicite de l’ONU
étendu de la compétence d’une OI (4)
“personnalité fonctionnelle”
principe de spécialité et de compétences
OI a toutes les compétences dont elle a besoin pour poursuivre ses buts
mais jamais plus, jamais une compétence générale
2 fonctions et types d’OI (1-3)
OI de coopération
négocisation,eventuellement rapprochement politique
OI d’intégration
transfert de compétences souveraines à l’OI
organes supranationaux avec autonomie vis-à-vis États
UE, OTAN, ONU (car conseil de sécurité)
3 types de compétences d’OI
compétence normative (produire droit)
compétence opérationnelle (mener ction sur un territoire; suppose consentement)
pouvoirs de sanction ou contrôle
destinataires de normes d’actes des OI (2)
actes auto-normateurs: membes de l’OI (principe)
actes hétéro-normateurs: états non membres ou d’autres entités (exception, conseil de sécurité)
consensus (3)
personne ne s’oppose
pas de vote
mode traditionnel
unanimité
consentement de tous les participants
lors d’un vote
tolère absention
majorité simple
moitié des votes plus un
conformité de prise de décision par vote avec souveraineté
souveraineté égale (différentes définitions d’églité)
regroupement important au sein de l’ONU (4)
groupe de 77
ajd plus de 130
sud global
majorité dans l’AG
classification d’OI
par but (2)
par modalité d’accès (2)
par compétences (2)
par membres visés (2)
par sujets visés (2 grand: 1-4)
par but
modalité d’accès
OI ouverte
OI fermées (ex: OPEC)
par compétences
OI avec compétences normatives
OI avec compétences opérationnelles
par membres visés
OI universelle
OI régionale
par sujets visés
organisations générales (tout sujet)
organisations spécialisée
OI politique
OI économique
OI financière
OI militaire
exemples pour organisations spécialisées (5)
OI politique: conseil d’europe
OI économique: OMC, Mercosur
OI financière: Banque mondiale
OI militaire: OTAN
Histoire de l’ONU (3)
déclaration des nations unies
discussion à Washington entre 5 grands
conférence de San Francisco de 50 états
Charte de l’ONU
déclaration des nations unies, date précise
1er janvier 1942
charte de l’ONU, dates précises
signature: 26 juiin 1945
entrée en vigueur: 24 octobre 1945
Principes de l’ONU
Universalité des membres
Universalité des matières
non recours à la force
institutions spécialisées de l’ONU (2 points)
16
pesonnalité juridique distincte
organisations spécialisées de l’ONU (20)
Organisation internationale du Travail (OIT)
Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO)
Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO)
Organisation mondiale de la Santé (OMS)
Banque mondiale
Fonds monétaire international (FMI)
Union internationale des télécommunications (UIT)
Organisation météorologique mondiale (OMM)
Organisation mondiale de la propriété intellectuelle
Fonds international de développement agricole (FIDA)
Organisation des Nations Unies pour le développement industriel
Organisation mondiale du tourisme
Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA)
Cour pénale internationale
Autorité internationale des fonds marins
Tribunal international du droit de la mer
Organisation internationale pour les migrations
Union postale universelle (selon le cours)
Organisation d’aviation civile internationale (OACI)
Organisation maritime internationale (OMI)
interdicton du recours à la force (§)
art 2 para 4 de la charte
membres de l’ONU
membres originaires, art 3
d’autres membres, art 4
devenir membre dans l’ONU
conditions de fonds:
etat pacifique
accepter obligations de la charte
capable de remplir obligations de la charte
procédure
recommendation du conseil de sécurité avec majorité 5/9 (y compris tous les membres permanents)
décision de l’AG avec majorité 2/3
sortie de l’ONU (3 grand)
retrait
indonésie 1965
exclusion
art 6 de la charte
violation persistante des principes de la charte
suspension
art 5 de la charte
si conseil de sécurité a pris une action préventive ou coercitive contre le membre
Organes de l’ONU (2 grandes catégories: 6-5
organes principaux (art 7 de la charte)
assemblée générale
conseil de sécurité
conseil économique et social
coneil de tutelle
cour internationale de justice
secrétarat général
organes subsidiaires, ex:
Haut Commissariat pour réfugiés
TPIY
TPIR
CDI
tribunal administratif des Nations Unies
droit de vote dans l’AG
un état, un vote
art 18 de la charte
majorité requis dans l’AG (2 + § + 3 ex)
d’habitude: majorité simple (art 18 para 3)
questions importantes: 2/3 (art 18 para 2), ex:
changements concernant membres de l’ONU (admission, suspension, exclusion)
éléction de membres des organes principaux
questions budgétaires
compétence de l’AG
art 10: tout sujet, exception art 12
art 12: réserve matières pour conseil de sécurité
quand conseil de sécurité ne remplit pas ce rôle: procédure acheson
procédure acheson
fondement
contenu
légitimité
utilisation
résolution Acheson (3 novembre 1950)
quand conseil de sécurité est bloqué, conseil de sécurité vote avec majorité 9/15 sans droit de véto convocation de l’AG (séance extraordinaire d’urgence) et l’AG peut remplir fonctions du conseil de sécurité
contesté, France s’opposait (vote avec remarque)
utilisation: notamment 6 fois pour situation en Ukraine et 4 fois conflit israélo-palestinien)
utilisation de la procédure Acheson (18)
Ukraine
27 mars 2014 sur Crimée
2 mars 2022 “Agression”
suspension Russie conseil droits de l’homme
12 octobre 2022: annexation
réparations après guerre
27 mars 2023: anniversaire de l’agression
autres
Égypte (1956)
Hongrie (1956)
Liban (1958
Congo (1960)
Inde/Pakistan (1971)
Jordanie (1980)
Namibie (1981)
BiH (1992)
Israël-Paletine (1967, 1980, 1982, 2009)
résolutions de l’AG sortant de la procédure Acheson (2 points)
peuvent remplir toutes les fonctions du conseil de sécurité, y compris autoriser recours à la force
seulement recommandations, pas pouvoir normatif
composition conseil de sécurité (+ §)
15 membres
5 permanents: Chine, Russie, France, Royaume-Uni, États-Unis
10 non permanents
élus par l’AG pour 2 ans (vote chaque année pour la moitié)
art 23 de la Charte
présidence du conseil de sécurité
change tous les 3 mois
ordre alphabétique des membres
droit de véto conseil de sécurité, §
art 27 de la charte
cf unanimité dans conseil de la SDN
modification de la charte de l’ONU
art 109 de la charte
AG: majorité de 2/3 +
vote positif par conseil de sécurité +
ratification par 2/3 des états membres, y compris les membres permanents
conseil économique et socal (5)
sous direction de l’AG
54 membres
élus par l’AG pour 3 ans
organe de discussion
résolutions pas contraignantes
organe de l’ONU rôle important décolonisation
conseil de tutelle
rôle du CIJ dans l’ONU (3)
organe judiciaire de l’ONU
fonction contentieuse: différends entre états
fonction consultative: conseil aux autres organes de l’ONU sur questions juridiques
sécrétaire générale de l’ONU (2)
dirige le secrétariat général
nommé pour 5 ans renouvelable
secrétariat général de l’ONU (2)
fonction administrative
rôle politique
organes subsidiaires de l’ONU, §
art 7 para 2 de l charte done aux organes droit de créer organes qui sont nécessaires
UNESCO =
organisation des NU pour éducation, science et culture
acte constitutif UNESCO (+ 2 dates)
conférence des nations unies pour la création de l’UNESCO (Londres)
signature: 16 novembre 1945
entrée en vigueur: 4 novembre 1946
buts de l’UNESCO (4)
paix par compréhension culturelle des peuples
libre circulation des idées
maintien du savoir
maintien du patrimoine
UNESCO membres
lors de signature: 37
ajd: 194 (dont Palestine)
devenir membre dans l’UNESCO
art 2 de l’acte constitutif
droit d’accès pour membres de l’ONU
d’autres états:
recommendation du conseil exécutif
+ vote de la conférence générale à 2/3
Palestine comme membre de l’UNESCO (3)
devenu membre 31 octobre 2011
États-Unis et Israel cessent à payer puis quittent
US revenu juin 2023
sortie de l’Unesco
suspension et exclusion
suspendu/expulsé de l’ONU -> automatiquement auss de l’UNESCO
retrait possible, art 2 paras 6-7 de l’acte constitutif
par notification au directeur général
organes de l’UNESCO
conférence générale:
organe plénier
non permanent
recommendations
propose traités (majorité 2/3)
conseil exécutif
organe restreint
permanent
prépare travail de la conférence générale
secrétariat
dirigé par directeur général
Compétences de l’UNESCO (3 grand)
compétences normatives
recommendations, soutien traité
compétences de contrôle
procédure de protection des droits de l’Homme
comité sur conventios et recommandations
compétenes opérationnelles
actions terrains
ex: protection du patrimoine, formation de juges
création FMI (2)
1945
partie du système Bretton Woods
membres du FMI
188
organes du FMI (4 grand)
conseil de gouverneurs
organe plénier non-permanent
2 comités ministériels
orgnes restreint
consensus
conseil d’administration
24 membres, dont les 5 grands (cf réforme de 2010)
direction du FMI
administration
majorité particulière du FMI (2)
85% (15 = véto)
quotes parts distribué selon pouvoir économique
création de l’OMC (7, avec année)
1947: GATT
chap 4 de la Charte de La Havane
1948: Charte de La Havane
signée, jamais en vigueur
OIC - OI de Commerce -> echec
OI de fait pour administrer GATT
depuis 1986: Uruguay Round
1994: Accord de Marrakech
1994: GATT de 1994
1995: entrée en vigueur -> naissance OMC
accord de marakech, dates précises
signature: 15 avril 1994
entrée en vigueur: 1er janvier 1995
qui peut être membre de l’OMC (2)
art 12 accord de marakech
etat ou territoire douanier distinct qui a autonomie entière dans conduite de relations extérieures
membres de l’OMC
(lors de création: 128)
ajd: 164
comment accéder à l’OMC (4)
art 12 accord de Marakech
négociations OMC- nouveau membre
protocole d’accession
acceptation par 2/3 des membres (vote dans conférence ministériele ou conseil général)
organes de l’OMC
(tous pléniers)
conférence mnistérielle
représentants au niveau ministériel
non permanent (tous les 2 ans)
compétence générale
conseil général
représentants d’états
sous conférence ministérielle
3 casquettes
fonctionnaires
à la tête: directrice Okonjo-Iweala
comités, groupes de travail etc
3 fonctions du conseil général de l’OMC
conseil général: fonctions de la conférence ministérielle
Organe de règlement de différends (ORD)
organe d’examen des politiques commerciales communs
comités de l’OMC (3 importants + 2)
pour GATT: conseil du commerce des marchandises
pour AGCS: Conseil du commerce des services
pour ADPIC: conseil des aspects de droit de la propriété intellectuelle qui touchent au commerce
comité commerce et environnement
comité commerce et développement
accords principaux de l’OMC (3)
GATT: general agreements on tarrifs and trade / accord général sur les tarifs douaniers et le commerce de 1994
AGCS: accord général sur le commerce des services de 1994
ADPIC: Accord sur les aspects de droit de la propriété intellectuelle qui touchent au commerce de 1994
prise de décision OMC
majorité: un état un vote (on évite en pratique)
consensus négatif
fonctions de l’OMC
Cadre pour négociation
administration des accords conclus
règlement des différends
traité à la base de l’alliance militaire occidentale
traité de l’Atlantique Nord
4 avril 1949
art 5: obligation à défense mutuelle
France et OTAN
quitté l’OI en 1966 (CDG)
redevenu membre 2009
Macron: “mort cérébrale”
membres de l’OTAN
ajd 32 membres (états européens + US + Canada)
3 candidats (Ukraine, BiH, Géorgie)
devenir membre de l’OTAN (8)
art 10 du traité de l’Atlantique Nord
pourparlers d’adhésion
lettre d’intention
calendrier de reformes
signature (entre OTAN et pays)
ratification
invitation à accéder
déposition de l’instrument d’accession
structure de l’OTAN (2 grand, 3 chacun)
structure civile
conseil de l’atlantique nord
organes subsidiaires (comités)
structure militaire
comité militaire
état major militaire international
structure de commandement intégré
missions de l’OTAN (3)
défendre Europe
opérations hors zone
aide en cas de catastrophe
création conseil de l’europe
statut du conseil de l’Europe
1949
siège conseil de l’europe
strasbourg
membres conseil de l’europe
10 membres originaires
ajd 46 états membres
conditions de fond pour devenir membre du conseil de l’Europe (5+§)
art 3 statut du conseil + pratique (fond)
Etat européen
reconnaitre état de droit, droits de l’homme à toute personne
ratificaton de ratifier Convention européenne des droits de l’Homme
acceptation des clauses facultatives sur juridiction obligatoire de la CEDH et la requête individuelle
liste d'autres engagements
procédure pour devenir membre du conseil de l’europe (+§)
invitation par le comité des ministres
deposition d’un nistrument d’adhésion
statut spécifique auprès conseil de l’europe
“membre associé”
peuvent être présent dans l’assemblée consulative
Sortie du conseil de l’europe
art 7
membre peut se retirer en notifiant secrétaire général
art 8
membre qui enfreint gravement les droits de l’Homme etc
est supendu est invité à se retirer
s’il ne se retire pas, Comité de ministres déclare qu’il cesse d’être membre
pas prévu
Russie 15/16 mars 2022
organes du conseil de l’europe (5 grands
comité de ministres
ministres des affaires étrangères our représentants permanents
organe décisionnaire
contrôle respect des engagements
assemblée consultative
= assemblée parlementaire
environ 320 sièges
représentants élus par parlements nationaux
Congrès des pouvoirs locaux et régionaux
Conférence des OING
environ 400 ONG ont un statut auprès le conseil
controverses doctrinales personnalité juridique de sujets internes (2, +1 auteur chacun)
aucune place, DIP est inter-étatique
Dionisi Anzilotti
individus comme partie de la société internationale
Georges Scelles
un raité peut-il reconnaitre droits/obligations directement aux individus
CPJI affaire compétence des tribunaux de Dantzig
avis de 3 mars 1928
en principe un traité ne le fait pas mais possible s’il y a une telle volonté
3 positions qui l’individu peut occuper en DIP
objet: est l’objet de normes dont les destinataires sont les états
sujet passif: est titulaire de droits qu’il peut faire valoir devant tribunaux nationaux
sujet actif: est titulaire de droit qu’il peut faire valoir devant des juridictions internationaux (ou voir sa responsabilité engagée devant de telles tribunaux)
immédiateté d’une règle internationale (def + 3 approches)
= applicabilité en droit interne sans besoin d’un acte de droit interne
1) conception dualiste: faut médiation pr norme interne
2) conception moniste: norme internationale s’applique automatiquement en droit interne
3) droit positif: depend du droit constitutionnel
immediateté en droit francais
pour les traités
art 55 de la constitution
traités ont autorité supérieure aux lois
pour la coutume
alinéa 14 du préambule de la constitution de 1946
France “se conforme aux règles du DIP”
applicabilité directe (synonyme, définition, règle, 3 critères
= effet directe
= invocabilité de la norme internationale devant le juge / opposabilité à d’autres particuliers
droit positif
en principe pas d’applicabilité directe du DIP
sauf en cas de volonté spécifique d’un traité (jamais coutume)
critères pour déterminer volonté
précis et non-équivoque
inconditionnel
vise sujets internes
hypothèses où indidvus sont titulaires de droit internatoinaux (4)
droits de l’Homme
droit de travailleurs
protection de minorités
droit des étrangers
protection des droits de l’homme au niveau universel (avec année) (6)
Charte internationale des droits de lHomme
déclaration universelle + 2 pactes
Convention contre génocide 1948
Convention abolition de l’esclavage 1956
Convention contre discrimination raciale 1966
Convention contre discrimination des femmes 1979
Convention contre torture 1984
Charte internationale des droits de l’Homme (3)
Déclaration universelle des droits de l’Homme de 1948
Pacte international relatif aux droits civiles et politiques de 1966
Pacte international relatif aux droits économiques, sociaux et culturels de 1966
protection des droits de l’homme au niveau régional (3)
conseil de l’europe: convention européenne des droits de l’Homme de 1950
UE: Charte des droits fondamentaux (en viguer depuis 2009)
Organisation des pays américains: Convention américaine relative aux droits de l’homme de 1969
Charte africaine des droits de l’homme
convention américaine relative aux droits de l’homme synonyme + année
Convention de San José
1969
combien de protocoles additionels de la conv européene des DH
+1 protocol particulier
11e permet recours individuel devant CEDH
nom de l’instrument DH de l’UE (1) et histoire (3)
Charte des droits fondamentaux de l’UE
jurisprudence de la Cour de Justice
traité de Lisbonne 2007
entrée en vigueur 2009
année convention européenne DH
droits des étrangers, 4 etapes
premiers traités de commerce
emergence standard minium de traitement et de protection
conventions d’établissement (1920-1960)
TBI (depuis 1960)
contenu convention d’établissement (3)
on reconnait aux ressortissant d’un autre état…
droits éconnomiques
droits sociaux
droits culturelles
mécanismes non-juridictionnels internationaux de mise en œuvre des droits des individus (10)
comité des droits de l’homme de l’ONU
Comité de discrimination de genre de l’ONU
comité contre la torture de l’ONU
comité pour protection des travialleurs voyageurs
OIT: bureau international de travail
conseil de l’europe
comité européen pour prévention de la torture
d’autres mécanismes
de la charte sociale européenne
de l’OSCE
commission de l’organisation des états américains
mécanismes en Afrique
mécanismes juridictionnels de mise en ouvre des droits des individus
cour de justice de l’UE
cour européenne des droits de l’homme
courr américaine des droits de l’homme
cour africaine des droits de l’homme
centre international pour le règlement de différends relatifs aux investissements (CIRDI)
CIRDI (date de création, acte constitutif, qualité/contexte)
création 1966
Convention de Washington
OI de la banque mondiale
nouveau projet matière investissement
Cour permanente internationale d’investissement
infractions de droit international visant actes par personnes privées (7)
piraterie
esclavage
trafic de stupéfiants
interférences illicites dans l’avition civile internationale
terrorisme
vol de bien culturels
corruption
infractions de droit international visant actes accomplis par agents publics (4)
agression
crimes de guerre
crimes contre l’humanité
crime de génocide
3 souces infraction de piraterie
coutume
Congrès de Paris de 1856
Convention de Montego Bay de 1982
définition piraterie
actes de violence
accomplis contre les biens ou personnes
dans un but lucratif
en haute mer
6 sources infraction d’esclavage
Congrès de Vienne de 1815
Acte der Berlin de 1885
Acte de Bruxelles de 1890
Convention relative à l’esclavage de 1926
Convention supplémentaire relative à l’abolition de l’esclavage de 1956
Protocole additionnel de New York de 2000
3 sources infraction trafic de stupéfiants
Convention mondiale de l’opium de 1912
convention pour la répression du trafic illicite des drogues nuisibles de 1936
Convention unique sur les stupéfiants de 1961
3 infractions, interférences illicites dans l’aviation civile internationale
piraterie aérienne
capture d’aéronef
actes illicites contre la sécurité de la navigation aérienne civile
source infraction du vol de biens culturels
convention de 1964 pour la protection des biens culturels en cas de conflit armé
statut du tribunal de Nuremberg: synonyme + date
Accord de Londres 1945
sources crimes d’agression
art 6 statut de Nuremberg
résolution 3314 de l’assemblée générale (14 décembre 1974)
art 8bis StCPI
résolution 3314 de l’assemblée générale
sujet
14 décembre 1974
définit agression
introduction crime d’agression StCPI (2)
amendements de Kampala
juin 2010
compétence prend effet 17 juillet 2018
textes droit international humanitaire (3)
convention de La Haye de 1899
convention de La Haye de 1907
convention de Genève de 1949
sources crimes contre l’humanité (2)
art 7 statut de Rome
covention contre génocide
nom en entier + année + entrée en vigueur
Convention pour la prévention et la répression du crime de génocide
1948
entrée en vigueur 1951
différend Ukraine - Rurssie CIJ - fondement
conventoin contre le génocide
sources crime de génocide
convention contre le génocide de 1948
art 4 StTPIY
art 2 StTPIR
art 6 statut de rome
création du TPIY
par conseil de sécurité
1993
compétence TPIY
4 crimes
actes commis en Ex-Yougoslavie dès 1972
création TPIR
par le conseil de sécurité ensemble avec gouvernement national
trbunaux mixtes, exemples (4)
Sierra Leone
Cambodge
Liban
Kosovo
création de la CPI (étapes)
AG invite CDI à travailler (1946)
CDI commence à travailler (1947)
adoption du statut de rome 1998
entrée en vigueur 1er juillet 2002
différence CPI vis-à-vis TPI (2)
permanence (≠ ad hoc)
complementarité (≠ primauté)
CPI membres
124
composition CPI
18 juges
saisine CPI (3)
un état
auto-saisine (procureur et Chprél)
lien de rattachement pour compétence de la CPI (4)
pas nécessaire en cas de saisine par CPI
auteur ressorissant d’un EM
crimes commis sur territoire d’un état memre
reconnaissance de la compétence sur le point
commission ratione temporis de la CPI
crimes commis après
en général: 1er juillet 2002
pour agression: 17 juillet 2018
compétence de la CPI pour agression
saisine par conseil de sécurité, État partie ou procureur
constat d’agression par conseil de sécurité
si pas de constat pendant 6 mois: autorisation de la ChPrél
+ Etat doit avoir accepté amendements de Kamala
situations actuelles de la CPI
32 affaires
17 situations
EMN définition
= entreprise multinationale
= groupe de sociétés
composée d’une société mère établi das un pays
et des filiales établies dans d’autres pays
ONG définition
organisation non-gouvernementale
= associaton de droit interne
créée à l’initiative de personnes privées
qui poursuit un objectif international de caractère désinteressé
rôle des ONG sur la scène internationale (3)
internationalisation
définir priorités
proposition ou contestation
statuts particuliers des ONG au sein de l’ONU (5)
statut dans conseil économique et sociale
art 71 de la charte
statut consuötatif
3000 ONG accredités
statut d’observateur
Comité Internationale de la Croix Rouge
résolultions d’AG et du CD reconnaissent rôle important
secrétaire générale, rapport 2004 “Nous peuples : société ciivle …”
statuts particuliers des ONG hors ONU (3, ggf + §)
conseil de l’europe: conférence des OING
CPI: procureur ou CPI peut demander leur avi (art 15, art 44 du statut)
OMC: arrangements possible entre conseil général et ONG (art 5 para 2 accord de Marakech)
texte de référence sources du DIP
art 38 statut de la CIJ
mentionne
conventoin
principes généraux
doctrine et jurisprudence (moyens auxiliaires)
racine art 38 StCIJ
redaction 1920
statut de la CPJI
“erreurs” de l’art 38
principes généraux excessif (manquent d’autonomie)
actes unilatéraux manquent
véritables sources du DIP
convention
actes unilatéraux
traité, définition (+ §)
art 2 para 1(a) Convention de Vienne
accord international
conclu par écrit
entre États
régi par le DIP
quelle que soit forme ou dénomination
actes qui ressemblent à traités
“actes concertés non conventionnels”
= Gentlemen’s agreement
sources du droit des traités
Convention de Vienne sur le droit des traités du 23 mai 1969
droit des traités spécifique
Convention de Vienne sur le droit des traités, dates
signé 23 mai 1969
entrée en vigueur 27 janvier 1980
conclusion des traités, etapes (3)
négociation entre autorités compétentes
adoption (signature)
expressino du consentement à être lié
autorités compétentes pour négocier traités
chef d’état
délégation -> plénipotentiaires
objet de la négociation d’un traité
préambule
dispositif
clauses fnales
modes d’adoption d’un traité
signature par chef de la conférence pour tous
signature par tous les participants des négociations
significations de l’adoption d’un traité (4)
arrêt de négociations
permet d’authentifier le texte
obligation de bonne foi
dans certains cas: engagement
différentes formes de traités aux États-Unis
“treaties”: ratification par le congrès
“agreements”: signature du président suffit
ratificaton particularité
acte international qui fait intervenir organes internes
modalités d’exprimer volonté à être lié à un traité (5)
forme simplifiée / procédure courte
signature
échange d’instruments
forme solanelle / procédure longe
ratification et procédures voisines
pour États qui accèdent plus tard:
adhésion
acceptation
procédure voisine de la ratification
approbation
terminologie des États qui concluent traités (5)
État participant dans la négociation
État signataire
État contractant
État partie
État tiers
droit français sur conclusion des traités
art 52 de la constitution: président compétent
art 53: intervention du parlement pour certains traités
art 53 et art 11 de la constitution: consultation référendaire à la place d’intervention du parlement
art 54: contrôle préeventif par le conseil constitutionnel
traités pour qui droit français requert loi (4 exemples)
traités de paix
traités qui engagent les finances
traités qui modifient dispositions législatives
vote d’un traité par le peuple francais
nom et utilisations
consultaton référendaire
utilisé pour traité de Maastricht
utilisé pour traité visant à introduire constituton européenne
pas utilisé pour Lisbonne
condtions d’entrée en vigueur interne d’un traité
adoption d’un décret
publication dans le journal officiel
définition réserves
selon convention de Vienne:
déclaration unilatérale quel que soit son libellé ou sa désignation
faite par un État
quand il signe, ratifie, accepte ou approuve un traité ou y adhère
par laquelle il vise à exclure ou à modifier l’effet juridique de certaines dispositions dans leur application à cet état
conditions pour mettre réserves (5)
conditions objectives
conditions inscrites dans le traité
conformité avec but et objet du traité
conditions tentant aux autres parties
silence ou acceptation formelle -> acceptation
objection simple -> traité entre en vigueur sans les dispositions en question
objection aggravée -> traité n’entre pas en vigueur entre les 2
effets des traités (+§)
entre les parties
pacta sunt servanda, art 26 conv de vienne
non-retroactivité. art 28 conv de Vienne
effet à l’égard des tiers
effet relatif des traités, art 34 convention de Vienne
aménagements du principe
consentement
traités erga omnes
cluse de la nation la plus favorisée
effet relatif des traités: § + contenu
art 34 convention de vienne
traité ne crée pas d’effet pour des tiers
types de traités ayant des effets pour des tiers avec leur consentement (2)
accord collatéral
stipulation pour autrui
§ pacta sunt servanda
art 26 convention de vienne
§ principe de non-retroactivie de traités
art 28 convention de vienne
terminologie concernant clause de la nation la plus favorisée (3)
État concédant (qui accorde traitement NPF)
État bénéficiaire (bénéficie de la CNPF)
État le plus favorisé
avec quel pincipe la CNPF est en conflit (potentiellement)
effet relatif (art 34 convention de Vienne)
mais: pas de conflit car fondement juridique est le traité qui contient la CNPF
hypothèses de fin d’un traité (3 + 1 synonyme)
nullité
retrait = dénonciation
extinction
nullité d’un traité
notion
effet
§
traité est en contravention avec règles de formation dès sa naissance
traité disparait totalement avec effet rétroactif
art 4853 convention de Vienne
motifs de nullité d’un traité (5)
erreur
dol
corruption du représentant
contrainte
par menace
ou emploi de la force
conflit avec ius cogens
synonyme
déonciation
un État se retire d’un traité / y met fin unilatéralement en ce qui concerne lui
dénonciation
syonyme
un État se retire unilatéralement d’un traité / y met fin unilatéralement en ce qui concerne lui
droit au retrait d’un traité? (+ §)
certainement si écrit (“solution conventionnele)
sinon: solution du droit international général
art 56 convention de vienne
pas de droit de retrrait
sauf droit peut etre deduit de l’intention des parties
ou de la nature du traité
extinction d’un traité
traité prend find pour tous les états parties
motifs d’extinction d’un traité (5 + §)
dispositions du traité / consentement des parties (art 54 convention de vienne
violation substantielle du traité (art 60)
impossibilité d’exécution du traité (art 61)
changement fondamental de circonstances (art 62 convention de vienne)
rupture de relations diplomatiques ou consulaires, si indispensables à l’application du traité (art 63 convention de vienne)
traités et OI quittés par Trump (13)
accord de paris (Biden reengagé)
conseil de droits de l’homme de l’ONU (retourné)
UNESCO (revenu)
partenariat economique transpacifique
protocole de vienne sur le règlement de différends
traité d’amitié avec l’Iran
accord nucléaire
traité FNI (sur les forces nucléaires à portée intermédiaire)
ALENA (accord libre échange Nord américain) (renégocié)
OMC: bloquent ORD
TAFTA (libre échange UE): arrêté négo
OMS: menacé quitter
Union postale: menacé quitter
débats doctrinaux sur la coutume
volontaristes: coutume comme volonté tacite
objectivistes: coutume comme produit d’une nécessité sociale; ubi societas ibi ius
2 éléments constitutifs de la coutume
pratique générale (élément matériel, cf école objectiviste)
acceptation comme étant du droit (élément psychologique, cf école volontariste
pratique générale (éléments)
comportement
imputable à un État
cohérent et répeté
portée matérielle: quantitati (répétitio)f et qualitatif (cohérence)
portée spatiale: au moins la majorité des états interessés
opinio iuris
en francais
distinction
= acceptation comme etant du droit
≠ usage, habitude
= auteur adopte le comportement, motivé par conscience d’une obligation juridique croyant que la seule option licite
qu’est-ce qu’un etat individuel peut faire contre une coutume
objecteur persistant
consequence: coutume inopposable à l’État
État nouveau: pas de choix
fondement juridique theorie de l’objecteur persistant
reconnu par CIJ, affaire des pêcheries (Royaume Uni contre Norvège), 1951
institutions qui jouent un rôle pour création de la coutume (2)
OI. comme lieus de discussions (Cristallisation de coutume)
juridictions internationales, qui constatent coutume
preuve de la coutume
3 problèmes
solution
prouver existence, prouver contenu, prouver élémment psychologique
codification
définition codification
conversion de règles coutumières en règles écrites (mais ça reste également coutume)
procédure de codification de coutume
AG chrge CDI de rédiger un traité de codification qui sera signé par les états
organe subsidiaire de l’AG
34 juristes de pays différents
bilan de codification de la CDI (4)
traités de codification
droit des traités: convention de vienne de 1969
droit interntional pénal: statut de rome de 1998
instruments de droit souple
responsabilité des états: articles de la CDI
réserves: guide de bon comportement
effet de codification
coutume reste coutume, devient aussi norme conventionnelle; vie distincte
CIJ, Affaire activités militaires et paramilitaires au Nicaragua (27 juin 2986)
affaire nicaragua
contenu concernant codification
27 juiin 1986
codification -> vie distincte de norme coutumière et conventionnnelle
catégories
droit international issu d’une seule volonté d’un ou plusieurs sujets de DIP
acte individuel
acte collectif
actes unilatéraux des États
actes unilatéraux des OI
logique des actes unilatéraux
des états
des OI
états: logique contractuelle, logique de liberté
OI: soumission hiérarchique à l’acte constitutif, logique de légalté
comment distinguer simple déclaration politique et acte unilatéral
CIJ affaire essasis nucléaires français (Astralie c France) (1914)
faut avoir
imputabilité à un état et
engagement de la volonté de l’auteur
classifications d’actes unilatéraux (2 très grand, 4 grand)
classifications formelles
par origine
origine international
origine interne
par degré de détermination par DIP
actes obligatoires
actes facultatifs
actes discrétionnaires
classifications matérielles
par l’objet
acte normatif
acte presriptif
acte permissif
acte habilitatif
acte opératoire
par cause de l’acte
demandes, acceptations, objections etc.
effet des actes unilatéraux des OI
actes auto-normateurs (vers les membres)
actes hétéro-normateurs (vers des tiers)
affaire qui démontre état actuelle du respect du DIP
CIJ, affaire “conséquences juridiques découlant des politiuqes et pratiques d’Israël dans le territoire palestinien occupé” 19 juillet 2024
violation des normes les plus fondamentales du DIP (droits de l’Homme, respect du territoire)
pourquoi DIP est respecté globalement
droit fondé sur volonté
droit fondé sur coopération
intérêts de chacun (égoismes)
moyens de mise en œuvre du DIP (5)
moyens des états
responsabilité internationale
contremesures
recours à la force armée
moyens au-delà des états
juridictions internationales
rôle de la responsabilité dans la mise en œuvre du DIP
moyen de correction et de réparation
placee des contre-mesures dans la mise en œuvre du DIP
moyen d’exécution
distinction de la responsabilité internaitonale pour fait internationalement illicite (2)
responsabilité sans faute
responsabilité des personnes privées
articles de la CDI (5)
début du projet 1955
adoption 2001 (46 ans de travail)
AG a pris connaissance et invité membres à en tenir compte
pas de traité de codification
grans succès en pratique
conditions de la responsabilité internationale
fait internationalement illicite (art 1 art CDI); art 2:
comportemet (acte/omission)
violation du DIP
attribution à un État
jurisprudence attribution d’un comportement à un État
CIJ, ffaire du personnel diplomtique à Téhéran (24 mai 1980):
attribution pour laissez faire et approbation
CIJ, affaire du personnel diplomatique à Téhéran
24 mai 1980
attribution à Iran à cause de laissez faire et avoir approuvé
fondement de la compétence de la CIJ dans affaire personnel diplomatique à Téhéran
traité d’amitié États-Unis – Iran
circonstances qui excluent illicétié d’un fait international (6)
légitime défense
force majeure
détresse
état de nécessité
exemple pour état de nécessité comme circonstance excluant illicéité d’un fait
argentine années 2000 crise economique
conséquences de la responsabilité internationale (+ §)
maintien du devoir d’exécuter l’obligation, art 29 articles de la cdi
cessation, art 30
non-répétition, art 30
réparation, art 31
réparation: quel préjudice (3)
préjudice matériel ou morale
préjudice médiat ou immédiat
seulement préjudice direct
modes de réparation de préjudice
réparation intégrale
indemnisation
satisfaction
régime particulier dans les articles de la CDI (y compris §)
“violations graves d’obligations de ius cogens/normes impératives du droit international général)”
art 40 et 41 des articles
obligation de coopération pour mettre fin a(art 41 para 1)
interdiction de reconnaitre comme licite une situation créée par violation grave et interdiction de prêter assistance au maintien, art 41 para 2
sans préjudice à d’autres conséquences supplémentaires, art 41 para 3
mise en œuvre de la responsabilité internationale (3 points)
titulaire: état lésé ou en cas de normes erga omes tous les états, art 42
invocation par canaux diplomatiques
mise en œuvre:
recours à un juge
ou contre-mesures
quand est-ce qu’un état pas directement peut invoquer responsabilité internationale pour violation de norme erga omnes?
art 42 articles de la CDI
seulement si la violation est de nature à modifier radicalement la situation de tous les autres états auxquels l’obligation est due
encadremeets de contre-mesures (2)
OMC
types de contre-mesures
par auteur
contre-mesures étatiques
contre-mesures dans le cadre d’une OI
contre-mesures comme sanctions institutionnelles
contre-mesures selon les règles générales de responsabilité
contre-mesres individuelles (droit subjectif)
contre-mesures en vue d’un droit objectif (obligation erga omnes)
distinction classique
rétorsions (intrinsèquement licite)
représailles (intrinsèquement ilicite)
quand est-ce qu’un état qui n’est pas directement lésé mettre en place une contremesure?
art 48 et 54 de la CDI
pour des normes erga omnes pour assurer cessation et réparation dans l’intérêt de l’état lésé
objet et but des contre-mesures
pression pour amener respect du DIP
art 49 articles de la CDI: contremesures seulement permi pour amener etat à respecter ses obligations
modalités de l’exercice de contremesures
art 49 para 2 de la CDI
seulement inexécution temporaire d’obligations internationales
régime de représailles (5, + §)
interdiction de représailles militaires (exception: légitime défense, art 51 de la charte)
maintien de certaines obligations, art 50 CD)
maintien de l’obligation initiale
procédure, art 52 CDI
demande infructueuse
notification préalable
proportionnalité, art 51 CDI
peut-on faire tout au titre de contre-mesures? (5)
art 50 CDI: maintien de certaines obligations
interdiction du recours à la force
droit international humanitaire
ius cogens
proportionnalité de représailes
art 51 de la cdi
proportionné avec
préjudice
gravité du fait illicite et des droits en cause
doit viser retour à la licéité
textes encadremenet des contre-mesures OMC
accord de Marakech 1994
memorandum d’accord sur les règles et procédures
en vigueur 1er janvier 1995
régime de contre-mesures dans l’OMC
interdiction de contre-mesures unilatérales sans autorisation
règlement (quasi)juridictionnel des différends
délai raisonnable
contenu: suspension des obligations du droit OMC
2 aspect de pacification des relations internationales
développement de modes pacifiques de règlement de différends
interdiction du recours à la force armée
développement de modes pacifiques de règlement de différends (2)
conférences de La Haye de 1899 et 1907
art 2 para 3 de la charte de l’ONU: obligation de règler pacifiquement
interdiction du recours à la force armée, §
notion de différend: source
CPIJ, Affaire concession Mavrommatis en Palestine (Grèce contre Grande Bretagne), arrêt du 30 aout 1924
notion de différend: définition
désaccord sur un point de droit ou de fait, une contradiction, une opposition de thèses juridiques ou d’intérêts entre deux personnes”
catégories de différends
différends politiques ≠ juridiques
différends justiciables ≠ non-justiciables
obligation de règler différends pacifiquement, §
art 2 para 3 de la charte
art 33 de la charte (énumère modes)
modes pacifiques de règlement, panorama (4 grand)
modes diplomatiques
négociation
bons offices
médiation
conciliation
enquête
modes juridictionnels
arbitrage
règlement judiciire
modes mixtes
recours aux OI
principe fondamental concernant juridictions internationales
principe de la justice consensuelle
différences modes diplomatiques et juridictionnels de règlement de différend
motif:
droit, équité, opportunité, …
droit
facultatif
obligatoire
tiers intervient pour faciliter contacts
tiers participe à la recherche d’une solution, mène la solution mais propose pas de solution
procédure formelle, tiers propose une solution
opération pour établir faits, nécessite consentement de l’état
exemples de traités autorisant enquêtes
convention contre géncide
protocole 1 de genève
établi Commission internationale d’établissement des faits)
différences arbitrage - règlement judiciaire (1)
permanence: crée au cas par cas - permanent
développement de l’arbitrage (3)
arbitrage entre communautés dès antiquité (ex: guerre du Péloponnèse, Spare contre Athènes)
17e siècel: moins d’arbitrge lors éqpoque traité de Westphalie (affirmatoin de la souveraineté)
19e siècel: développement de l’arbitrage moderne
caractéristiques de l’arbitrage
3 avantages
1 inconvenient
souplesse: discretion des parties
confidentiel
rapidité
mais: succès dépend de la volonté des parties
CPA
synonym (2)
siège
création
nature
compétence (+ 2 ex)
= cour permanente de l’arbitrage
= tribunal de La Haye
siège: La Haye
1899 (cf conférences de La Haye en 1899 et 1907)
OI
compétence
dès qu’un Étt est partie au différend
Affaire Sud-Soudan (mouvement de libération) contre Soudan
Affaire Eurotunnel (2 sociétés de droit privé contre France et Royaume Uni)
CIRDI
synonym
centre international pour le règlement des différends relatifs aux investissements
crée 1966
types d’arbitrage (2)
arbitrage interétatique
arbitrage transnational (investisseur, personne privée, contre État)
caractéristiques du règlement judiciaire (3)
juridiction permanente
préconstitué
moins de souplesse
quand est-ce qu’il y a les premiers juridictions permanentes internationales
2e moitié du 20e siècle
qui peut créer juridictions internationales?
États par traité
OI par résolution
Exemples de juridictions internationales (11)
Cour internationale de justice - cij
Tribunal international de la mer - TIDM
Tribunal administratif des Nations Unies
Organe de Règlement de Différend de l’OMC - ORD
Cour pénale internationale - CPI
Cour européenne des droits de l’Homme - CEDH
Cour de Justice de l’UE - CJUE
Cour interaméricaine des droits de l’Homme
Cour africaine des droits de l’Homme
prédécesseur CIJ (nom + création et fin)
CPJI - Cour permanente de justice internationale
1922 - 1946
composition (4)
créée 1945, commencé activité 1946
composition
15 juges
mandat de 9 ans renouvelable
élection par Assemblée générale et Conseil de sécurité
groupe représentatif
composition actuelle de la CIJ
6 occidentaux
3 Asie
2 amérique latine
4 afrique
compétence de la CIJ
n’importe quel différend international qui touche 2 états
-> juridiction avec vocation générale
pas ouverte aux OI
création TIDM
création 1982
entre en fonction 1996
composition CEDH et CJUE
1 juge par état membre
projet de nouvelle juridiction internationale (nom + cadre)
Tribunal multilatéral des investissements
dans le cadre de la CNUCED (Conférence des Nations Unies sur le Commerce et le Développement)
système de juridictions internationales
général
3 spécifique
3 exceptions
absence d’un système hiérarchisé
pas de cour suprême pour harmoniser jurisprudence
rarement mécanismes d’appel ou de cassation
exceptions
double degré de juridiction en matière pénale
et dans l’OMC
recours en annulation contre sentence rbitrale
pas de règle de précédent en DIP
conséquences de l’absence de système hierarchisé de juridictions internationales (2)
concurrence de compétences
2) manque de cohérence entre juridictions
condtions pour un tribunal arbitral / une juridiction internationale de statuer (3)
engagement juridictionnel
litige qui entre dans l’étendu de la compétence
recevabilité de la requête
formation de l’engagement juridictionnel (3 grand)
engagement conventionnel (par 2 parties)
compromis
clause compromissoire
engagement unilatéral
consentement dissocié
définition compromis
= accord par lequel les parties à un différend qui est né et actuel confèrent à un organe le pouvoir d’en juger
définition
= clause attributive de juridiction
= disposition dans un traité par laquelle les parties donnent compétence à un tribunal pour trancher un différend qui pourra apparaitre entre eux
exemples de traités qui contiennent clause compromissoire (3)
convention sur les réfugies
convention contre le génocide
traité d’amitié Iran-US de 1955
engagement juridictionnelle unilatéral
où
fondement légal
comment?
bilan
particularité de la CIJ
art 36 para 2 du statut de la CIJ
par déposition d’une “Déclaration facultative de compétence obligatoire de la CIJ”
un tiers des États, Royaume-Unie comme seul membre permanent
“consentement dissocié” à une juridiction
arbitrage transnational entre investisseur et Etat
clause compromissoire dans un traité entre État d’accueil et État de nationalité
jurisprudence: traité comme offre d’arbitrage, requête introductive comme acceptation -> consensus dissocié (mais valide) à la juridiction
fondement légal du consentement dissocié à la juridiction (avec date précise)
affaire AAPL contre Sri Lanka
sentence arbitrale CIRDI du 27 juin 1990
(Royaume-Uni - Sri Lanka; entreprise de crevette, destruction d’une usine lors de troubles internes)
qui a compétence de compétence?
chaque juridiction internationale pour soi-même
conditions de compétence d’une juridiction internationale (4)
compétence matérielle: objet du différend
compétence personnelle: parties
compétence spatiale
compétence temporelle
compétence temporelle des juridictions internationales
principe de non-rétroactivité:
tribunal connait seulement de faits déroulés après entrée en vigueur du traité
conditions de recevabilité
idée
conditions généraales (3)
idée: conditions qui déterminent si le différend est prêt d’être tranché
1) existence d’un différend concret
2) intérêt à agir
3) possibilité de rendre une décision obligatoire
règlement de différends par recours aux OI (3 §)
art 33 charte de l’ONU: recours aux mécanismes régionaux comme mode de règlement
chapitre 6 de la charte de l’ONU: donne conseil de sécurité un rôle dans règlement pacifique
chapitre 8 de la charte: donne conseil de sécurité possibilité d’utiliser mécanismes régionaux pour régler différends
ius ad bellum
= encadrement juridique du recours à la force armée
ajd: principe d’interdiction / règlementation générale
ius in bellum (4)
= encadrement juridique des hostilités
droit de La Haye: conduite des hostilités
droit de Genève: droit international humanitaire (au sens strict); protection des victimes de la guerre
Droit de la neutralité
fondement juridique droit de La Haye
conférences de La Haye de 1899 et de 1907
fondement juridique droit de Genève
4 conventions de Genève de 1949
histoire de l’interdiction du recours à la force armée (7)
au début: guerre permise
conférences de La Haye de 1899 et 1907 pour la paix: encourage règlement pacifique
Convention Drago-Porter( 1907): renonce guerre pour récuperer dettes
Pacte de la SDN (1919): moratoire de guerre
Pacte Briand-Kellog (1928): renonce guerre comme instrument de politique nationale
doctrine Stimson de non-reconnaissnce (1932)
charte des nations unies 1945
Convention Drago-Porter
1907
États renoncent guerre pour récuperer dettes
Pacte de la SDN
portée pour guerre
1919
moratioire de guerre
Pacte Briand-Kellog
états membres
1928
États renoncent guerre comme instrument de politique nationale
environ 70 états membres à la fin de la SDN
doctrine Stimson de non reconnaissnce
interdiction de reconnaitre comme licite situation amenée par menace ou force
§ de la charte qui consacrent paix (2)
art 1: maintien de paix comme but de l’ONU
art 2 para 4: interdiction du recours à la force armée
interdiction du recours à la force armée, libellé
« Les Membres de l’Organisation s’abstiennent
dans leurs relations internationales
de recourir à la menace ou à l’emploi de la force
soit contre l’intégrité territoriale ou l’indépendance politique de tout État, soit de toute autre manière incompatible avec les buts des Nations Unies »
mention du recours à la force licite dans la charte (2 §)
art 51: droit de légitime défense
art 42: autorisation du recours à la force par le conseil de sécurité
recours à la force: permis / interdit ajd? (2)
opinion traditionnelle: principe d’interdiction
prof: règlement général
portée de l’interdiction du recours à la force armée (3 grand: 4, 3, 4)
portée normative
valeur conventionnelle (art 2 para 4 charte)
valeur coutumière (CIJ affaire nicaragua)
ius cogens? non
erga omnes? oui
portée ratione personae
états membres de l’ONU
états non-membres
acteurs non-étatiques? oui
portée rationa matieriae
menace interdit séparément? plutot non
force armée (≠ guerre, ≠ force non-armée)
“dans les relations internationales” (mais note internationalisation)
problème des 24 derniers mots
menace de force interdite?
lecture 1: interdit séparément
lecture 2: menace et emploi vont ensemble, mention de menace vise à prévenir utilisation
CIJ, affaire Licéité de la menace et de l’emploi d’armes nucléaiares de 1996
CIJ affaire licéité de la menace et de l’emploi d’armes nucléaires
1996
sur licéité de la politique de menace d’armes nucléaires
conséquences de la violation de l’interdiction du recours à la force armée (7)
conséquences ordinaires
1) responsabilité internationale
2) réparation
3) contre-mesures (état lesé et d’autres états car obligation erga omnes)
conséquences spécifiques
4) application du ius in bellum
5) interdiction de reconnaissance
6) nullité de traités obtenus par force
7) qualification comme crime international
hypothèses de recour licite à la force armée (5, ggf + §)
hypothèses prévues par la charte
légitime défense, art 51
autorisation du conseil de sécurité, chapitre 7 de la charte / art 42
hypothèses hors charte
intervention ponctuelle en faveur de ses ressortissants
intervention avec consentement par l’État territorialement compétent
interventionn humanitaire?
conditions
titulaire
cotenu (4)
aspect procédural
art 51 charte
condition: agresion armée
par un État ou acteur non-étatique
titulaire:
état victime individuellement
états tiers collectivement (légitime défense collective)
défense doit être nécessaire et proportionnelle: ICJ Nicaragua
légitime défense préventive: rejetté par majorité
légitime défense préemptive: admis par DIP
caractère provisoire: jusqu’à décision du conseil de sécurité
obligatoin de communiquer mesures de légitime défense au conseil de sécurité
légitime défense préemptive
attaque est certaine (aucun doute) et imminent
admis par DIP
idée du chapitre 7 de la charte (3)
“sécurité collective”:
interdiction du recours individuel décentralisé à la force
confie compétence à un organe commun collectif centralisé
qui est compétent pour la sécurité collective (+ §)
art 24 de la charte
comment le recours à la force se fait après une autorisation du conseil de sécurité (2)
art 42 de la charte: toute mesure nécessaire, y compris forces aériennes, navales ou terrestres -> idée de forces militaires propres du conseil de sécurité
réalité: conseil de sécurié autorise États à mener actions militaires
procédure d’autorisation de recours à la force par conseil de sécurité (4)
qualification de la situation comme menace contre la paix et la sécurité internationale, art 39 de la charte
mesures provisoires, art 40
mesures non-coercitives, art 41
mesures coercitives, art 42
situations générales qui sont “menace contre paix et sécurité internationale” (5)
conflit armé international
conflit interne internationalisé
violation massive de droits de l’Homme
mesures non-coercitives (3)
doivent être pris par conseil de sécurité avant mesures coercitives
art 41 de la charte
ex: sanctions économiques, diplomatique
mesures coercitives
quoi?
≠
art 42 de la charte / chapitre 7
opération militaire sur le terrain
≠ mission casques bleus (chapitre 6)
missions casques bleus
chapitre 6 de la charte
“opération de maintien de la paix”
autorisation de mesures coercitives par conseil de sécurité
rare
première: guerre du Corée 1950
2ème: invasion du Kuwait par Iraq 1990
résolution 1973 en 2011 concernant menace de population civile en Lybie
résolution 2249 en 2015 concernant attentats terroristes par le Daech (ambigu)
résolution 1973
portée (2)
17 mars 2011
autorisation limitée du recours à la force armée pour protéger population civile en Syrie
application de la théorie de responsabilité de protéger
résolution 2249
20 novembre 2015
autorisation (ambigue) du recours à la force contre attentats terroristes par le Daech
hypothèses de recours à la force que les états cherchent car conseil de sécurité ne fonctionne pas (3)
légitime défense préventive
autorisation implicite par conseil de sécurité
validation a posteriori (ex: OTAN au Kosovo)
intervention ponctuelle en faveur d’un ressortissant (3)
= intervention d’humanité
État applique force ponctuellement pour sauver propres ressortisants, ex en situation d’otage
exemple recours à la force avec consentement
France au Mali
intervention humanitaire
pour mettre fin à violations massives des droits de l’Homme, à crimes de masse ou massacres
évolution
coutume qui donne droit d’ingérence? non; précédents:
intervention Lybie 2011 (avec autorisation par conseil de sécurité)
intervention Kosovo 1999
changement de paradigme: responsabilité de protéger
Document final du sommet mondial de 2005:
État territorialement compétent doit protéger population contre génocide etc
s’il ne le fait pas: communauté internationale doit intervenir, mais seulement dans le cadre du chap. 7 de la charte
fondement juridique responsabilité de protéger (2 + date précise + portée)
“Document final du sommet mondial de 2005”
adopté par l’assemblée générale
24 octobre 2005
portée: responsabilité de protéger
obligation de l’État territorialement compétent de protéger population contre génocide etc
s’il ne le fait pas: obligation de la communauté internationale d’aider; mais seulement avec autorisation du conseil de sécurité
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