Chez l’homme la régulation de la traduction est essentiellement
transcriptionnelle
différentes régions régulatrice
Une cellule bien différencier exprime combien de gène
Entre 2000 et 3000 gènes
les régions cis-régulatrices (Responses Elements) distale sont des éléments de réponse et peuvent être de 2 types
Les Enhencers —> activatrice
Les Silencers —> inhibiteur
de plus toutes les séqences cis-régulatrice sont reliées par un médiateur
MGMT
elle a pour but de de démétyler les guanosines
donc trop cool pour les traitements de tumeur parce que le traitement veut méthyler les guanosines pour tuer les celllues infectées
Opéron
seulement chez les PRO
groupe de gène sous l’influence d’un même promoteur
Pour l’exemple du des gènes de la digestion du glucose et du lactose
Le but est de fixer le prot CAP sur le promoteur lier à de l’AMPc
le lactose inhinbe le la protéine de répression
le glucose inhibe l’AMPc
└> cela nous a appris qu’il faut qu’une ARNpol se fixe sur un promoteur pour que la transcription commence
Domaine trans-régulateur
Zinc finger
Leucine zipper : partie qui se lie à l’ADN est basique => charge positive
Homeodomaine ou Hélice-boucle-hélice
P53
tétramère
peut activer ou désactiver plusieurs gènes différent
Épigénétique : les histones
Acylation : rétire les charges postive des lysines des histones —> décompaction
Recrutement des protéines à bromodomaine qui déclanche une réaction en chaine
HAT —> décompaction
HDAC —> compaction
Méthylation : méthyle la fonction amine des lysines
KMT —> méthyle
KDM —> déméthyle
Les différents réaction possible sur les AA
Empreinte parental / gène parentaux
cela conduit a une expression hémizygote
Exemple IGF2 :
Répresison de l’allèle maternel et expression de l’allèle paternel
maman pas méthylé donc expression de CTCF —> H19 réprime IGF2
papa exprime IGF2
Les 2 maladie du à IGF2
Tumeurs de Wilms (néphroblastome)
méthylation de la mère
└> enhancers accessibles —> double expréssion d’IGF2
Syndrome de Silver-Russel (RCIU)
déméthylation du père
└> blocage de l’accès aux enhancers —> pas de d’IGF2 du tout —> problème lors du développement embryonnaire
facteur de transcription
sont régulés par l’environnement et peuvent être
hydrosoluble —> récepteur membranaire
liposoluble —> récepteur nucléaire
Oncogenes et Suppresseur de tumeur
oncogènes —> un seul et la maladie se déclanche
suppesseurs de tumeur —> il faut muter les 2 pour inactiver le gène
méthylation de l’ADN
méthylation des zones mCpG —> transformation de la cytosine en 5-methylcytosine
liaison répresseur MeCP 1/2
└> recutement de HDAC —> déacétylation des histones —> condensation de la chromatine —> répression de la transcription
Site ESE et ISE
permettent la fixation des protéines SR (sérine et arginine)
favorise le recrutement du spliceosome
Site ESS et ISS
sont à l’interieur d’exon —> ils empèchent le reccrutement du spliceosome
Édition des ARN : les apolipoprotéines B
normalement c’est gène de 29 exons qui dans le foie donne l’ApoB100
mais dans l’intestin il y a un enzyme : la cytidine désaminase APOBEC intestinale
ApoB48
la maturation des neurotransmetteurs
l’enzyme ADAR permet de changer les A en I qui sera lu comme un G
└> cela va rendre le neurone mature
les ARN interférents
les ARNsi : d’origine exogène
sont double brins
le miARN : d’origne endogène
sont simple brin
qui sont à l’origne de 30% de la régulation des ARNm
sont a 40% codé dans les introns
regroupé en cluster
taille d’envion 21 à 24 nuclétotides
└> il sont éfficasse en : inhibant l’a traduction des proténines, en coupant la queue poly A ou en clivant directement l’ARN mais pour cela il faut un complémentarité parfaite
à chaque fois il y a recrutement de AGO prot argonaute et toujours en 3’UTR
Les lncARN
nombre de nucléotide et qui les fabrique
de 200 à 10 000 nucléotides
pol II
éponge à miARN et respnsable de la lyonisation des chromosmes X
—> c’est lncARN Xist qui fait ça
les ARN circulaire
il sont des éponges à miARN
mais aussi se lie en leurant les protéines du ribosome
extremement stable
régluation lors de la traduction
chez le EU il faut recruter la petite unité du ribosome par la coiffe et la protéine CAP
les protéines elF4E se fixe sur CAP et permet la tradution mais en situation normale elle est séquestrée dans le par 4E-BP1
Il faut phosphorylée 4E-BP1 pour pouvoir le détaché de elF4E
celui qui phosphoryle c’est mTOR en réponse à de nombreux facteurs
le but est la prolifération cellulaire
régulation traductionnelle : le fer
les séquences IRE vont fixées des protéines IRP (aconitase) qui cachent le gène de la ferritine, si il y a du fer —> la ferritine est transcrite
soit on utilise la ferritine
est les inhinbé par les aconitases en 5’UTR
elle stocke le fer et sont composé de 24 SU
soit on utilise la transferrine
elle est boostée par la fixation des prots IRP en 3’UTR
permet quand il y a peu de fer d’en faire rentrer dans la cellule
la maladie de l’exès de fer s’appelle l’hémochromatose
que permet la régulation post trasductionnelle des protéines
souvent fait par des enzymes et cela peut donner de nouvelle fonction à la protéine :
interaction prot/prot ou prot/ADN
activité enzymatique
++ stable
localisation dans la cellule
les différents types de modification des AA
le génome humain code pour combien de kinase
518 et parmis celle-ci 17% sont de tyrosine kinase et le reste de sérine thréonine kinase
comment je régule mon recepteur à la protéine G
je le phosphoryle puis la phosphorylation va êstre reconnu par une ß-arrestine qui induit l’endocytose du recepteur
HIF1-α
facteur de transcrition qui va s’activé en cas d’hypoxie
└> cela va activer l’angiogénèse
qui dit facteur de transcription il a donc forcément un domaine de liaison à l’ADN et un domaine de transactivation
Si les prolines sont hydroxylés alors il y a une dégradation de HIF1-α
la maladie de HIF1-α
VHL ou Von Hippel-Lindau
maladie autosomique dominante peut aussi être somatique
au sein du cervelet, de la moelle épignère et de la rétine
glucosylation
c’est ce qui fait les groupementxs ABO
la dégradation des protéines
soit par le lysosome (par le chinois en 2016) :
soit par le protéasome (apr le non chinois en 2004) :
le complexe reconnait l’ubiquitine (portéine de 76AA —> 8500 Da, globulaire sauf en 4AA en C-term)
la mono et la multi-ubiquitination on des rôles de méssager cellulaire
la poly-ubiquitination permet la reconnaissence de la protéine par les 2 SU 19S du protéasome pour ensuite la dégrader
pour ubiquitiné il faut E1 qui recrute l’ubiquitine puis transfert sur un E2 puis grâce à E3 j’ubiquitine ma protéine sur les lysines
Syndrome d’angelman
délétion partielle du chromosome 15 qui induit un perte de la ligase E6-AP
6 éléphant apparaissent
└> se qui implique une non dégradation des protéines car elles ne sont plus ubiquitiné
la voie P53
la protéine MDM2
c’est la guerre ont est dans MW2 ou quoi
ubiquitine en permanace la protéine P53 se qui permet d’avoir une réponse très rapide en cas de problème
et c’est la protéine ARF qui va séquestré MDM2 en cas de signale de mort cellulaire
Qui inhibe mTOR
ceux qui inhibe la voie mTOR sont la rapamycine et le vérolimus
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