Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur ulcéreuse typique ?
A. La douleur est généralement épigastrique, souvent décalée vers la droite.
B. Elle est intense et irradie largement.
C. La douleur est calmée par l'ingestion d'aliments ou d’anti-acides.
D. Elle est souvent décrite comme une crampe ou une sensation de faim douloureuse.
E. Elle est post-prandiale immédiate, apparaissant dès le début du repas.
F. Elle peut être rythmée par les repas, avec une périodicité typique.
ACDF
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur ulcéreuse atypique ?
A. La douleur atypique suit toujours le même rythme et périodicité que la douleur typique.
B. Le caractère post-prandial peut être présent dans la douleur ulcéreuse atypique.
C. La douleur atypique est toujours calmée par les anti-acides.
D. Elle peut être atténuée par la sédation ou par des aliments.
E. La localisation de la douleur peut varier par rapport à la douleur ulcéreuse typique.
F. Il existe un lien direct entre la taille de l’ulcère et l’intensité des douleurs.
BDE
Quelles affirmations sont correctes concernant les différences entre la douleur de reflux gastro-œsophagien et la douleur ulcéreuse ?
A. La douleur du reflux est souvent rétrosternale, tandis que la douleur ulcéreuse est généralement épigastrique.
B. La douleur ulcéreuse est calmée par le décubitus, tandis que la douleur de reflux est aggravée par cette position.
C. La douleur du reflux peut être décrite comme une brûlure, alors que la douleur ulcéreuse ressemble plus à une crampe ou une faim douloureuse.
D. La douleur du reflux est toujours post-prandiale immédiate, tandis que la douleur ulcéreuse apparaît plusieurs heures après le repas.
E. La douleur du reflux est très périodique et apparaît selon un cycle précis.
F. Les éructations et la régurgitation acide sont des signes associés fréquents dans le reflux.
ABCF
Quelles affirmations sont correctes concernant les caractéristiques sémiologiques des douleurs digestives décrites ?
A. La douleur de reflux gastro-œsophagien peut être associée à des signes respiratoires.
B. La douleur ulcéreuse typique est calmée par les vomissements spontanés.
C. La douleur de reflux est souvent déclenchée par l’antéflexion ou le décubitus.
D. La douleur ulcéreuse typique dure généralement entre 30 et 60 minutes.
E. La douleur ulcéreuse atypique suit toujours un cycle précis lié aux repas.
F. L'intensité de la douleur ulcéreuse est proportionnelle à la taille de l’ulcère.
ACD
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur biliaire typique ?
A. Elle est souvent progressive et survient préférentiellement en fin de soirée (vespérale).
B. Elle se situe principalement dans la région lombaire.
C. Elle peut être très intense et présenter une sensation de broiement ou de crampe.
D. Elle est aggravée par l'inspiration profonde, provoquant une inhibition respiratoire.
E. Elle est calmée facilement par les anti-spasmodiques et les antalgiques.
F. Elle peut durer plusieurs heures, avec un endolorissement de 2 à 3 jours.
Quels sont les signes associés possibles à la douleur biliaire typique ?
A. Nausées et vomissements.
B. Fièvre systématique dès le début de la crise.
C. Ballonnement abdominal.
D. Douleur irradiante vers l'épaule droite.
E. Séquence angiocholite incluant douleur, fièvre, et ictère.
F. Douleur rythmée par les repas.
ACDE
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur biliaire atypique ?
A. Elle est généralement très intense et constante.
B. Son siège est souvent à gauche ou limité aux irradiations postérieures.
C. Elle peut être décrite comme pseudo-occlusive.
D. Elle est souvent décrite comme une douleur pseudo-angineuse.
E. Elle est associée à une sensation de brûlure rétrosternale.
F. Elle peut être accompagnée de douleurs de pancréatite en cas de pancréatite associée.
BCDF
Quelles affirmations sont correctes concernant les différences entre les douleurs biliaires typique et atypique ?
A. La douleur biliaire typique est généralement épigastrique ou dans l'hypochondre droit, tandis que la douleur atypique peut être localisée à gauche.
B. La douleur atypique est souvent progressive et paroxystique.
C. La douleur typique est souvent associée à des signes comme des nausées et vomissements.
D. La douleur atypique est toujours accompagnée de fièvre.
E. La douleur biliaire typique peut durer plusieurs heures et laisser un endolorissement de 2 à 3 jours.
F. La douleur biliaire atypique est toujours intense et persistante.
ACE
Quelles affirmations sont correctes concernant les facteurs aggravants et soulageants des douleurs biliaires typique et atypique ?
A. La douleur biliaire typique peut être aggravée par une inspiration profonde.
B. La douleur atypique est soulagée par la prise de repas légers.
C. La douleur biliaire typique est difficilement calmée par les anti-spasmodiques et antalgiques.
D. Les douleurs biliaires sont toutes calmées par l'ingestion d'anti-acides.
E. La douleur biliaire typique est souvent calmée par des vomissements.
F. La douleur biliaire atypique est sensible aux analgésiques classiques.
AC
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur biliaire et ses causes fréquentes ?
A. La douleur biliaire signifie une inflammation chronique des voies biliaires.
B. La lithiase biliaire peut entraîner une distension aiguë des voies biliaires.
C. La lithiase cholédocienne est une cause fréquente de colique hépatique.
D. L'angiocholite résulte d'une obstruction des voies biliaires principales, souvent due à des calculs.
E. La cholécystite est une inflammation de la vésicule biliaire qui peut être causée par une lithiase vésiculaire.
F. Une douleur biliaire est toujours associée à une angiocholite.
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur pancréatique typique ?
A. La douleur est souvent épigastrique ou localisée dans l'hypochondre gauche.
B. Elle est rarement intense et ne provoque pas d'insomnie.
C. La douleur irradie fréquemment dans le dos, parfois en ceinture.
D. Elle est continue mais se manifeste par paroxysmes.
E. Elle est calmée rapidement par des analgésiques faibles.
F. Elle est déclenchée par des repas gras et alcoolisés.
Quelles affirmations sont correctes concernant les signes associés et l'évolution de la douleur pancréatique ?
A. Elle est souvent accompagnée de fièvre élevée dès les premiers symptômes.
B. La douleur peut nécessiter des antalgiques puissants pour être calmée.
C. La position en "chien de fusil" est souvent adoptée pour soulager la douleur.
D. Une intolérance gastrique est fréquemment associée à la douleur pancréatique.
E. L'évolution de la douleur pancréatique est souvent prévisible et régulière.
F. Elle peut durer de quelques heures à plusieurs jours.
Quelles affirmations sont correctes concernant le profil évolutif et les associations inconstantes de la douleur pancréatique ?
A. La douleur pancréatique chronique peut être associée à une diarrhée due à une insuffisance pancréatique exocrine.
B. Le diabète est souvent lié à une insuffisance pancréatique endocrine dans le contexte d’une pancréatite chronique.
C. La douleur pancréatique aiguë dure rarement plus de quelques heures.
D. Les douleurs chroniques fluctuantes peuvent être un signe de pancréatite chronique.
E. Une douleur sourde et permanente peut être associée à un cancer du pancréas.
F. La colique pancréatique est une douleur diffuse et légère qui dure plusieurs jours.
ABDE
Quelles affirmations sont correctes concernant les caractéristiques de la douleur colique ?
A. La douleur colique est souvent située dans l'épigastre ou les fosses iliaques.
B. Elle est de type "brûlure" et se manifeste de manière constante.
C. La douleur peut être très intense et présente de manière intermittente sous forme de spasmes.
D. Elle est calmée par l'évacuation des selles ou des gaz.
E. Elle est déclenchée uniquement par une activité physique intense.
F. Elle peut être déclenchée par des repas ou certains aliments spécifiques.
Quels signes associés et périodicité peuvent être observés avec la douleur colique ?
A. La douleur colique est souvent accompagnée de diarrhée ou de constipation.
B. Des gargouillements ou borborygmes peuvent être présents avec la douleur.
C. La douleur colique suit un rythme précis et régulier.
D. Le ballonnement abdominal est un signe associé fréquent.
E. La douleur est rythmée par les cycles jour/nuit.
F. Elle n’a pas de périodicité précise et varie selon la cause.
ABDF
Quelles affirmations sont correctes concernant l'évolution et la signification de la douleur colique ?
A. La douleur colique aiguë est typiquement liée à une gastro-entérite.
B. La douleur colique chronique fluctue et est souvent liée à des troubles fonctionnels intestinaux.
C. Les symptômes récents de douleur colique sont généralement bénins et n'inquiètent pas.
D. La douleur colique peut indiquer des lésions organiques, comme un cancer obstructif ou une colite.
E. Elle se présente toujours sous forme de douleur constante sans variation d’intensité.
F. Il est important de se méfier des symptômes récents de douleur colique.
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur colique atypique ?
A. Elle peut se situer dans n’importe quelle région de l’abdomen.
B. Elle est souvent très intense et accompagne des symptômes graves.
C. Elle est décrite comme une douleur "en barre".
D. La douleur colique atypique est caractérisée par une sensation de simple inconfort.
E. Elle est généralement calmée par des anti-inflammatoires puissants.
F. La persistance de l'évacuation des selles et des gaz est un signe fréquent dans la douleur colique atypique.
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur de l'intestin grêle dans le syndrome de König ?
A. La douleur est de type colique et d'intensité légère à modérée.
B. Elle a tendance à varier, mais elle se présente toujours de la même manière chez un patient donné.
C. La douleur est accompagnée d'irradiations vers le dos et les membres inférieurs.
D. Elle s’intensifie progressivement puis cède rapidement avec une sensation de passage interne d’eau et de gaz.
E. Elle est généralement post-prandiale et peut survenir de manière précoce selon le siège de l'atteinte.
F. Elle dure souvent plusieurs heures sans soulagement.
Quels signes associés et quelle évolution peuvent être observés avec la douleur de l'intestin grêle dans le syndrome de König ?
A. Ballonnement localisé est un signe fréquent associé à cette douleur.
B. La douleur est souvent accompagnée de nausées et parfois de vomissements.
C. La douleur s’aggrave systématiquement avec la fièvre.
D. Une altération de l’état général (AEG) peut être présente.
E. Son évolution est souvent prévisible et identique pour tous les patients.
F. L'évolution varie selon la cause sous-jacente.
Quelles affirmations sont correctes concernant le syndrome d'obstruction chronique incomplète associé à la douleur de l'intestin grêle ?
A. Le patient a souvent un ventre indolent et plat au réveil.
B. Le petit déjeuner est généralement pris sans problème ni inconfort.
C. Le déjeuner est suivi d’un soulagement total et immédiat des symptômes.
D. Après le déjeuner, le patient peut ressentir un inconfort digestif avec une sensation de liquides stagnants et ballonnement.
E. Le dîner est difficile à prendre, provoquant parfois des nausées et des vomissements.
F. Les vomissements alimentaires ne soulagent jamais le patient.
Quelles affirmations sont correctes concernant les troubles dyspeptiques ?
A. Les troubles dyspeptiques surviennent souvent après les repas, particulièrement en postprandial précoce.
B. Ils se manifestent par une douleur aiguë, intense et soudaine.
C. Des symptômes comme une sensation de lourdeur à la digestion et des éructations sont fréquents.
D. Les troubles dyspeptiques sont souvent liés à des causes organiques telles que le cancer du pancréas.
E. Les symptômes peuvent être déclenchés ou aggravés par le stress ou les vacances.
F. Ces troubles sont principalement associés à des troubles fonctionnels intestinaux et fluctuent souvent.
ACEF
Quelles affirmations sont correctes concernant les douleurs abdominales brutales ?
A. Elles indiquent souvent des urgences médicales nécessitant une intervention immédiate.
B. Un infarctus du myocarde (IDM) peut se manifester par une douleur abdominale brutale et diffuse.
C. Une dissection aortique est une cause possible de douleur abdominale brutale.
D. Une douleur abdominale brutale est typiquement associée à une torsion d’un organe comme un volvulus de l’intestin grêle.
E. Elles sont généralement causées par des troubles fonctionnels intestinaux non urgents.
F. Une rupture d'anévrisme peut être une cause de douleur abdominale brutale.
Quelles affirmations sont correctes concernant les douleurs abdominales regroupées par mécanismes ?
A. Une irritation du péritoine peut être causée par une péritonite due à une appendicite ou une cholécystite.
B. Les douleurs ischémiques sont toujours bénignes et ne nécessitent pas d'intervention rapide.
C. Une douleur liée à l’angor mésentérique est une douleur permanente et continue.
D. Les coliques sont typiquement des douleurs paroxystiques, pouvant être causées par une obstruction.
E. Une douleur abdominale liée à la pancréatite peut être aggravée par l'inflammation et une tension canaliculaire.
F. La perforation ulcéreuse est une cause courante de douleur abdominale par irritation du péritoine.
ADEF
Quelles affirmations sont correctes concernant les orientations sémiologiques des douleurs abdominales ?
A. Les douleurs postprandiales sont typiquement associées à des pathologies comme l'ulcère ou l'angor mésentérique.
B. Une douleur soulagée par l'émission de gaz ou de selles est souvent d'origine colique.
C. La douleur exacerbée par la marche et l'inspiration profonde est un signe caractéristique d'obstruction intestinale.
D. Une douleur soulagée par l'alimentation peut évoquer un ulcère.
E. Les vomissements sont associés à une obstruction du tube digestif.
F. Les douleurs postprandiales sont un signe de péritonite aiguë.
Quelles affirmations sont correctes concernant les douleurs abdominales non systématisables et leurs causes possibles ?
A. Les douleurs non systématisables peuvent être liées à des causes générales médicales nécessitant des examens biologiques approfondis.
B. L'hypercalcémie peut être une cause possible de douleurs abdominales non systématisables.
C. Les douleurs non systématisables sont toujours d'origine intestinale.
D. Le syndrome de TRAPS et le syndrome des Hyper-IgD peuvent provoquer des douleurs abdominales non systématisables.
E. La drépanocytose n'est jamais associée à des douleurs abdominales.
F. Le phéochromocytome est une cause possible de douleurs abdominales non systématisables.
Quelles affirmations sont correctes concernant la douleur de reflux gastro-œsophagien ?
A. Elle est généralement située au niveau épigastrique.
B. La douleur est décrite comme une sensation de brûlure.
C. Elle est irradiée principalement vers la région lombaire.
D. Elle est plus fréquente après les repas (post-prandiale).
E. Elle est souvent déclenchée par l’antéflexion ou le décubitus.
F. Cette douleur est accompagnée de vomissements fréquents.
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