Au cours de la journée, la transpiration de la feuille dépend :
1. de la température
2. de la conductance stomatique
3. à la fois 1 et 2
4. ni 1 ni 2
La vernalisation décrit la réponse de :
1. la floraison au froid accumulé au cours de l’automne et de l’hiver
2. la croissance de la tige au froid de l’automne et de l’hiver
L’intérêt de la notion d’énergie libre en physiologie végétale est de renseigner sur :
1. les échanges de chaleur accompagnant un processus biologique
2. la spontanéité d’un processus biologique uniquement
3. la spontanéité et la vitesse d’un processus biologique
4. aucune des propositions ci-dessus
la spontanéité d’un processus biologique uniquement
Parmi les éléments minéraux intervenant dans des réactions oxydo-réductrices en se liant aux enzymes qui les catalysent, on compte :
1. le fer et le cuivre
2. le cuivre et le potassium
3. le sodium et le manganèse
Lors de la photorespiration, la chaîne transporteuse d’électrons des thylakoïdes :
1. consomme de l’énergie réductrice et de l’ATP, apportés par le cycle photosynthétique
oxydatif en C2 (ou cycle du glycolate)
2. fournit de l’énergie réductrice et de l’ATP au cycle photosynthétique oxydatif en C2 (ou
cycle du glycolate)
3. fournit de l’énergie réductrice et de l’ATP au cycle du glyoxylate dans le glyoxysome
4. Aucune des propositions ci-dessus
2. fournit de l’énergie réductrice et de l’ATP au cycle photosynthétique oxydatif en C2 (ou cycle du glycolate)
Lors de la photorespiration : enzyme RUBISCO fixe O2 au lieu de CO2 -> produit phosphoglycolate
Chaîne de transport d’e- dans thylakoides produit ATP et NADPH
Les phytochromes participent au contrôle de la floraison :
1. dans la feuille, où ils captent la lumière bleue
2. dans la feuille, où ils captent la lumière rouge
3. dans le méristème apical, où ils captent la lumière rouge
La photorespiration est d’autant plus importante que :
1. la fermeture des stomates limite la diffusion du CO2 et de l’O2
2. la température est élevée
Un déplacement de soluté à travers une membrane est qualifié de spontané si :
1. il est accéléré par un transporteur protéique transmembranaire
2. sa variation d’énergie libre est négative
Dans l’antenne d’un photosystème, une chlorophylle excitée par la lumière peut être désexcitée par transfert de son énergie à :
1. une molécule de xanthophylle
2. une autre molécule de chlorophylle
4. ni 1 ni2
On peut dire que la régulation cinétique de la Rubisco par la Rubisco-activase est de type :
1. allostérique
2. post-traductionnelle
3. transcriptionnelle
La photolyse de l'eau intervient au niveau des thylakoïdes :
1. où elle fournit l'énergie nécessaire à l'excitation des chlorophylles
2. où elle alimente la chaîne rédox photosynthétique en électrons
3. où elle alimente la chaîne rédox photosynthétique en protons
L’eau monte dans le xylème :
1. parce que la résistance hydraulique est toujours plus basse dans l’apoplasme que dans le
symplasme
2. sous l’influence d’un gradient de potentiel de pression
L’eau passe à l’état de vapeur au niveau :
1. des ponctuations des éléments conducteurs du xylème
2. des parois des cellules mésophylliennes au contact des espaces intercellulaires
3. de l’ostiole
La chlorophylle des antennes :
1. a pour rôle de dissiper l’excédent d’énergie lumineuse captée
2. augmente la capture des photons au niveau de chaque photosystème
3. transmet un électron à la chlorophylle du centre réactionnel
La subérisation du cortex racinaire modifie :
1. le potentiel hydrique de l’organe
2. le potentiel osmotique de l’organe
3. la conductance hydraulique de l’organe
La fermentation alcoolique :
1. permet de poursuivre une production glycolytique de l’ATP
2. permet de poursuivre une production mitochondriale de l’ATP
L’association des racines avec des champignons mycorhizateurs :
1. permet l’assimilation de l’azote atmosphérique
2. augmente la croissance, dans toutes les conditions d’apports nutritifs extérieurs
3. protège parfois la plante contre des maladies des racines
On définit la maturité d’une plante à fleurs sur base de :
1. sa compétence au développement reproducteur
2. la présence de fleurs développées
3. la dissémination active de graines
On dit qu’un organe est un « organe source » quand il est :
1. chlorophyllien
2. exportateur net de carbone
Pour générer une force proton-motrice, il est nécessaire d’avoir recours à :
1. une pompe à protons ATPasique
2. des pigments chlorophylliens
3. une membrane
La thermogénèse chez Arum maculatum démontre que :
1. la respiration consomme nécessairement de l’amidon
2. la température des tissus végétaux est toujours supérieure à celle de l’air ambiant
3. l’oxygène peut être consommé autrement que par une respiration mitochondriale
Dans la feuille qui transpire, l’eau tapissant les parois cellulaires des cellules mésophylliennes développe :
1. une pression de turgescence gonflant les cellules
2. une tension superficielle d’autant plus élevée que la feuille perd de l’eau
Une cellule qui perd de l’eau est forcément :
1. en plasmolyse
2. dans un milieu sec
3. soumise à un potentiel hydrique extérieur inférieur à son propre potentiel
Lors du phénomène d’ajustement osmotique, on peut toujours dire que :
1. de l’eau rentre dans la vacuole
2. de l’eau rentre dans le cytosol
3. des solutés sont accumulés dans le cytosol et dans la vacuole
Dans les éléments conducteurs du bois, le phénomène de cavitation intervient notamment (cavitation = format° bulles d’air dans vaisseaux des P.)
1. lorsque l’eau est aspirée trop rapidement par la transpiration foliaire
2. à la suite de la formation de bulles d’air lors du gel hivernal de la sève minérale
On peut conclure que la diffusion d’un soluté à travers une membrane emprunte un
transporteur, quand :
1. la vitesse de diffusion n’est pas une fonction linéaire de la concentration extérieure en
soluté
2. un potentiel de membrane est nécessaire à la diffusion
On dit que le cycle de Calvin-Benson est couplé à la photochimie du thylakoïde parce que
1. le cycle apporte l’énergie nécessaire à cette photochimie
2. la photochimie apporte l’énergie nécessaire à la réalisation du cycle
3. certaines enzymes travaillent tant dans le cycle de Calvin-Benson que dans la photochimie du thylakoïde
Photochimie th. Produit ATP et NADPH -> utilisé par cycle Calvin-Benson
On peut parler de régulation post-traductionnelle du métabolisme dans le cas des phénomènes suivants :
1. la stimulation par la lumière de la transcription de certains gènes intervenant dans la
photosynthèse
2. la réduction chimique de ponts disulfure dans des enzymes du cycle Calvin-Benson à la lumière
3. l’augmentation de l’oxygénation du ribulose-1,5-biphosphate par l’enzyme Rubisco lors
d’une élévation de température
Lorsque la température augmente dans l’atmosphère et dans la feuille : (H2O passe en phase vapeur)
1. l’humidité relative diminue dans les espaces intercellulaires du mésophylle
2. le potentiel hydrique de l’eau diminue dans la phase vapeur à l’intérieur de la feuille
3. le gradient de concentration de vapeur d’eau entre l’intérieur et l’extérieur de la feuille
augmente
Lorsque l’eau rentre dans une cellule, on peut toujours en conclure :
1. qu’elle descend un gradient de potentiel hydrique
2. qu’elle descend un gradient de potentiel osmotique
Les feuilles possèdent une variété de pigments, qui permet de :
1. récolter des photons de différentes longueurs d’onde en vue d’un travail photochimique
2. capter une diversité de photons tout en dissipant un excès d’énergie lumineuse,
notamment par voie thermique
On peut considérer que la molécule suivante est un produit de l’assimilation du carbone dans le chloroplaste :
1. le saccharose
2. l’amidon
3. le glucose
On peut dire que l’ATP stocke de l’énergie chimique parce que :
1. son hydrolyse augmente l’entropie du système
2. considérant la réaction d’hydrolyse, le rapport d’action des masses dans les conditions
physiologiques est inférieur à la constante d’équilibre
3. considérant la réaction d’hydrolyse, le rapport d’action des masses dans les conditions
physiologiques est supérieur à la constante d’équilibre
2. considérant la réaction d’hydrolyse, le rapport d’action des masses dans les conditions physiologiques est inférieur à la constante d’équilibre
Q<K donc encore possible de fabriquer des réactifs
Dans le contrôle de la floraison, une plante dite « de jours courts » est une plante qui fleurit lorsque :
1. la photopériode tombe en dessous de 12 heures de lumière par jour
2. le jour est suffisamment court, la longueur de la nuit étant sans importance significative
3. la nuit est suffisamment longue, la longueur du jour étant sans importance significative
Les huiles, ou triglycérides, accumulées par certaines graines permettent d’accumuler du carbone et de l’énergie :
1. sous une forme osmotiquement neutre
2. sous une forme déplaçable de cellule à cellule
On peut dire que la coopération de deux photosystèmes distincts dans le chloroplaste des plantes supérieures
1. permet de hisser un électron d’un bas niveau d’énergie sur la molécule d’eau jusqu’à un
haut niveau d’énergie sur la molécule de NADPH
2. empêche tout transport cyclique d’électrons dans les thylakoïdes, permettant la
production de NADPH
3. est une condition nécessaire à la fabrication d’ATP dans les thylakoïdes
1. permet de hisser un électron d’un bas niveau d’énergie sur la molécule d’eau jusqu’à un haut niveau d’énergie sur la molécule de NADPH
Les pompes à protons ATPasiques ont entre autres fonctions physiologiques :
1. d’acidifier la vacuole et l’apoplasme
2. de participer au chargement du saccharose dans la cellule compagne du phloème
Le déplacement du saccharose des feuilles sources aux organes puits consomme de l’énergie :
1. lors du chargement du phloème par la voie apoplasmique
2. lors du déplacement par flux de masse dans les tubes criblés du phloème
La lignification du xylème permet :
1. de résister aux forces de succion développées par la transpiration
2. de limiter le phénomène de cavitation
(Empêche vaisseaux de s'effondrer)
Les particules de sol formant le complexe argilo-humique :
1. fixent les cations de façon réversible
2. immobilisent les anions de façon irréversible
3. libèrent des protons nécessaires à la mobilité des cations
Les champignons mycorhizateurs :
1. sont indispensables à la croissance végétale
2. augmentent la croissance végétale en toutes conditions
3. augmentent la croissance végétale dans certaines conditions seulement d’apports nutritifs à la plante
Les quinones libres, qui voyagent dans les membranes biologiques, sont des composés qui permettent de déplacer :
1. des électrons dans les membranes biologiques
2. des protons dans les membranes biologiques
Les plantes réalisant une photosynthèse en C4 tendent à avoir une performance
photosynthétique supérieure à celle des plantes en C3 lorsque :
1. la température augmente et la concentration en CO2 de l’atmosphère diminue
2. la température diminue et la concentration en CO2 de l’atmosphère augmente
3. la température augmente et la concentration en CO2 de l’atmosphère augmente
Une plante d’Arum maculatum est capable de chauffer les tissus de son inflorescence parce que :
1. elle respire des triglycérides sans récupération d’énergie chimique
2. elle découple l’oxydation du NADH mitochondrial d’une production mitochondriale d’ATP
Le potentiel hydrique a pour dimension :
1. une force
2. une énergie
3. une pression
L’eau ne peut rentrer dans une cellule que si :
1. le potentiel osmotique de la cellule est inférieur à celui du milieu
2. le potentiel hydrique de la cellule est inférieur à celui du milieu
3. la pression hydrostatique de la cellule est supérieure à celle du milieu
Une cellule turgescente perdant de l’eau voit :
1. sa pression hydrostatique diminuer
2. son potentiel de soluté devenir plus négatif
Le contrôle du volume de la cellule repose sur :
1. la pression qui règne dans la cellule et la résistance de la paroi
2. la différence de pression entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule
3. la différence de concentrations en solutés entre l’intérieur et l’extérieur de la cellule
Parmi les réponses au stress hydrique observées chez les plantes, il y a :
1. l’accumulation d’osmolites dans les cellules, abaissant leurs potentiels hydriques
2. le basculement vers un mode de photosynthèse alternatif de type CAM
Le flux d’eau à travers une membrane dépend :
1. de la différence de potentiel osmotique et de canaux, et de canaux de type aquaporine
2. de la différence de potentiel hydrostatique et de la viscosité de la solution
3. de la différence de potentiel hydrique et de la conductance hydraulique de la membrane plasmique
La pression racinaire :
1. permet de faire circuler l’eau dans le xylème en l’absence de transpiration, la nuit
uniquement
2. exerce une compression de la base de la colonne d’eau du xylème qui peut contribuer à la mettre en mouvement le jour comme la nuit
3. résulte du déplacement d’eau du phloème vers le xylème, selon l’hypothèse de Münch
L’eau transpirée s’échappe de la feuille grâce à :
1. un gradient de pression de vapeur entre l’intérieur et l’extérieur de la feuille
2. une poussée de l’eau dans le xylème par pression racinaire
3. une pompe à eau appelée aquaporine
Au cours d’une journée ensoleillée, une feuille peut transpirer beaucoup du fait de :
1. la différence de pression de vapeur qui tend à augmenter entre l’intérieur de la feuille et l’air ambiant
2. la résistance de couche limite qui tend à diminuer
3. l’augmentation de la consommation de molécules d’eau par la photosynthèse
L’eau qui humecte les parois végétales, aux interactions avec la phase gazeuse des espaces intercellulaires de la feuille, est :
1. dans un état de tension
2. dans un état de compression
3. à la pression atmosphérique, comme la vapeur d’eau avec laquelle elle est en équilibre
Les cations sont considérés comme moins susceptibles au lessivage dans le sol que les anions, parce que :
1. seuls les cations sont capables de précipiter
2. ils sont davantage fixés sur le complexe argilo-humique
Un élément minéral dit « essentiel » est aussi :
1. mobilisable
2. un macroélément
Dans la plante, le magnésium est un :
1. microélément essentiel mobilisable
2. microélément essentiel non-mobilisable
3. macroélément essentiel mobilisable
La zone de déplétion autour d’une racine décrit :
1. la distance maximale que peut atteindre une racine au cours de sa croissance
2. le volume de sol présentant une concentration en un élément nutritif abaissée du fait de son prélèvement
3. la région pilifère de la racine
Le potentiel de membrane est lié :
1. à la différence des concentrations
2. au déséquilibre des charges de part et d’autre de la membrane
3. à toute différence de pression osmotique de part et d’autre de la membrane
Un ion qui diffuse à travers une membrane peut :
1. passer par un canal
2. traverser la bicouche lipidique sans l’aide d’un système de transport spécifique
Le potentiel de membrane est établi :
1. par le seul gradient de protons créé par une pompe ATPasique
2. par tout déséquilibre de charges de part et d’autre de la membrane, auquel tous les ions
participent
3. par la pression hydrostatique s’exerçant sur la membrane et la paroi
2. par tout déséquilibre de charges de part et d’autre de la membrane, auquel tous les ions participent
Les nitrates pénètrent dans la racine :
1. grâce au flux d’eau rentrant, qui entraine les minéraux solubles
2. par transport actif médié par un symporteur nitrate/proton
3. par transport passif grâce à leurs charges négatives qui neutralisent celles de cations du cytosol
Le pyrophosphate inorganique :
1. est importé des chloroplastes par un translocateur de phosphate, permettant l’export de triose-phosphate
2. alimente une pompe à protons du tonoplaste
PPi / purophosphate inorganique = source d’E alternative à l’ATP
-> alitemente une pompe à proton dans tonoplaste
Lors de l’ouverture du stomate, le courant mesuré à travers la membrane plasmique de la cellule de garde est :
1. une fonction linéaire du potentiel de membrane
2. une fonction non linéaire du potentiel de membrane
3. ne dépend pas du potentiel de membrane
Dépendance voltage dépendante (ouverture varie avec potentiel de membrane)
Les anions consomment généralement de l’énergie pour rentrer dans une cellule parce que :
1. ils sont généralement plus gros car il s’agit souvent d’acides organiques
2. ils sont chargés, contrairement à de nombreux solutés électriquement neutres
3. le potentiel de membrane établi par la pompe ATPasique de la membrane plasmique est négatif (pour un déplacement dans le sens OUT vers IN)
La spontanéité ou non d’une réaction d’oxydo-réduction est donnée par :
1. le signe de la variation d’énergie libre de la réaction
2. le signe de la différence de potentiel d’oxydoréduction de la réaction
Dans un système biologique, une réaction d’oxydo-réduction :
1. a toujours lieu dans une membrane
2. implique toujours un transfert d’électrons
3. implique toujours un transfert d’électrons accompagnés de protons
Le fer est un élément minéral essentiel, notamment en raison de sa présence dans :
1. les chlorophylles et les cytochromes
2. la plastocyanine et les cytochromes
3. la ferrédoxine et les cytochromes
Pour être considérée comme non-cyclique, une photosynthèse doit utiliser :
1. un donneur et un accepteur d’électrons en début et en fin de chaine respectivement
2. des chlorophylles antennaires coopérant avec les chlorophylles des centres réactionnels
3. deux photosystèmes en coopération pour énergiser les électrons par la lumière
Parmi les molécules anti-oxydants luttant contre un stress oxydatif chez les organismes
photosynthétiques, on connait :
1. les caroténoïdes de type xanthophylle
2. des enzymes, comme la catalase
Pour se protéger d’un excès de lumière, une plante peut :
1. dissiper l’énergie grâce à des pompes à protons
2. produire des xanthophylles dans ses thylakoïdes
3. fermer ses stomates
Les phases claire et obscure de la photosynthèse sont couplées grâce :
1. aux variations de pH dans le chloroplaste
2. aux substrats métaboliques produits par une phase et consommés par l’autre
On parle de cycle de Calvin-Benson car :
1. le CO2 est assimilé et relibéré au cours du même cycle
2. le RuBP sucre accepteur de CO2 est régénéré au départ de trioses-P produits dans la phase dite de réduction
3. le NADPH consommé dans la phase dite de réduction est régénéré dans la phase dite de régénération du même cycle
Lors d’une stimulation lumineuse, l’environnement plus réducteur du stroma contribue à :
1. activer les enzymes du cycle de Calvin
2. stimuler la production de zéaxanthine, qui dissipe sous forme thermique l’excès
d’excitation des chlorophylles
Comme exemple de régulation post-traductionnelle d’une enzyme, on peut citer :
1. la régulation allostérique de l’ADP-glucose pyrophorylase par le phosphate inorganique
2. l’oxydo-réduction des groupements sulfhydriles d’enzymes du cycle de Calvin par les
systèmes ferrédoxine-thioredoxine
La photorespiration :
1. produit de l’énergie photochimique en l’absence de CO2 disponible pour l’enzyme Rubisco
2. dégrade le saccharose dans les cellules vertes où il a été produit
3. dégage du CO2 dans les cellules vertes sans intervention de la mitochondrie
(Photorespiration se produit quand RUBISCO fixe O2 au lieu de CO2)
-> quand faible concentration de CO2 / faible luminosité.
-> dégradation phosphoglycolate
Photorespiration consomme de l’E !!!
Dégagement de CO2 dans la mitochondrie
Les stomates s’ouvrent la nuit chez :
1. les plantes de type C4 et CAM
2. les plantes de type CAM uniquement
3. toutes les plantes en conditions de stress hydrique sévère
(P. Des milieux arides ouvrent leurs stomates la nuit pour éviter la perte d’H2O et accumuler du CO2)
On peut dire que l’eau qui voyage dans les tubes criblés du phloème voyage :
1. dans un canal
2. dans le symplasme
3. dans l’apoplasme
Parmi les éléments minéraux considérés comme mobiles dans la plante, capables d’être redistribués entre les organes lors de carences, on peut citer :
1. le potassium et le magnésium
2. le magnésium et le calcium
3. le calcium et le sodium
Pour charger du saccharose dans le phloème, la production d’ATP par les cellules compagnes est importante dans le cadre :
1. d’un chargement apoplasmique du phloème
2. d’un chargement symplasmique du phloème
le saccharose quitte les cellules du mésophylle pour passer temporairement dans l’apoplasme
L’activité invertase :
1. hydrolyse le saccharose dans les organes puits
2. synthétise du saccharose dans les organes sources
3. produit de l’inuline au départ du saccharose dans certains organes puits
Saccharase = synonyme de invertase
Lorsqu’une feuille illuminée et placée dans une atmosphère normale présente une
consommation nette de CO2, celle-ci masque :
1. un dégagement de CO2 par la respiration mitochondriale et la photorespiration
2. un dégagement de CO2 par la respiration et la fermentation
En observant un état stationnaire du métabolisme, où les concentrations en substrats
réactionnels sont constantes, on en conclut que :
1. les réactions sont à l’équilibre thermodynamique
2. les réactions sont arrêtées
3. les vitesses de consommation des substrats métaboliques sont égales à celles de leur
production
3. les vitesses de consommation des substrats métaboliques sont égales à celles de leur production
L’utilisation de l’oxygène par la respiration mitochondriale permet :
1. l’oxydation complète du carbone
2. la régénération du NAD+ consommé au cours du cycle de Krebs
(Au cours de la respiration mitochondriale, molécules organiques dégradées -> CO2 et H2O)
Utilisation O2 dans la chaîne de transport d’e- permet de régénérer NAD+
La mitochondrie intervient :
1. dans la respiration aérobie et dans la fermentation
2. dans la respiration aérobie et dans la photorespiration
En l’absence d’oxygène, la dégradation des sucres :
1. provoque une accumulation de pyruvate
2. est réalisée sans production d’ATP
3. ne peut relâcher aucune molécule de CO2
Pyruvate ne s'accumule pas car converti rapidement via voies fermentaires
(Fermentation lactique, alcoolique) -> libère CO2
Même en l’abscence d’O2, glycolyse génère de l’ATP
Glucose -> 2pyruvate + 2ATP + 2NADH
Si pas d’O2 -> pas de respiration mitochondriale
Pour produire de l’ATP, une racine :
1. doit obligatoirement respirer
2. peut respirer ou fermenter
3. doit obligatoirement fermenter
La fermentation au départ de pyruvate est un processus :
1. qui régénère le NAD+ requis par la glycolyse -> glucose -> 2 pyruvates + 2ATP +2NADH
2. qui utilise la chaine rédox mitochondriale, mais avec un accepteur terminal autre que
l’oxygène O2 -> processus anaérobie n’implique pas chaîne de transport d’e- mitochondriale.
3. qui dégage toujours du CO2 -> pas toutes
1. qui régénère le NAD+ requis par la glycolyse
Le NADH cytosolique produit par la glycolyse peut être oxydé par :
1. une voie fermentaire, lactique ou alcoolique
2. une NADH déshydrogénase de la membrane mitochondriale externe
Parmi les substrats carbonés gagnant la mitochondrie pour y être respirés, il y a :
1. le glucose
2. le pyruvate
3. l’acétylcoenzyme
L’appellation de « coenzyme » du CoA nous apprend que cette molécule :
1. n’est pas consommée par la réaction mais agit comme catalyseur
2. sert à charger une chaine carbonée (un acyle)
3. constitue un substrat recyclé utilisé dans le métabolisme primaire
constitue un substrat recyclé utilisé dans le métabolisme primaire
Le coenzyme-A :
1. permet d’introduire le carbone dans le cycle de Krebs
2. participe à la dégradation oxydative des acides gras
La pyruvate déshydrogénase est une enzyme intervenant :
1. dans la photosynthèse de type CAM pour régénérer le phosphopyruvate
2. lors de la respiration aérobie des sucres
3. lors de la fermentation alcoolique des sucres
On produira moins d’ATP au départ du FADH2 produit par le cycle de Krebs qu’au départ du NADH produit par ce même cycle en raison :
1. du plus petit nombre d’électrons portés par FADH2 comparé au NADH
2. de l’activité pompe à protons de la NADH déshydrogénase du complexe I de la membrane interne de la mitochondrie, dont est dépourvu le complexe succinate déshydrogénase du complexe II de cette membrane
Dans la chaine respiratoire mitochondriale, les électrons peuvent passer des ubiquinones réduites à l’oxygène :
1. directement
2. indirectement, via des cytochromes
Au cours de la respiration aérobie, la matrice mitochondriale :
1. s’appauvrit en protons
2. produit du CO2
NADPH et ATP partagent pour propriété :
1. d’être hydrosolubles et de fonctionner comme véhicules d’énergie libre dans la cellule
2. de porter de l’énergie libre en liant un groupement hydrolysable
De façon générale, pour refroidir une feuille, on peut :
1. réprimer son oxydase alternative mitochondriale
2. augmenter sa transpiration
La production de chaleur par le spadice d’Atum maculatum est expliquée par :
1. l’hydrolyse rapide de l’amidon dans la récupération d’énergie libre des liens glycosidiques
entre résidus du glucose
2. le transfert d’électron directement de l’ubiquinone à l’oxygène moléculaire O2, sans
récupération de l’énergie libre fournie par cette réaction rédox
3. la diffusion rapide des protons à travers la membrane interne de la mitochondrie sans
récupération de l’énergie de la force proton motrice
On dit que le cycle de Krebs remplit un rôle anabolique, outre son rôle catabolique principal, parce que :
1. il peut refixer du CO2 en fonctionnant en sens inverse
2. il dégage de la chaleur et assure la température requise par de nombreuses enzymes
3. les intermédiaires du cycle sont utilisés comme substrats précurseurs de nombreuses
réactions
Les glyoxysomes sont rencontrés chez les plantes supérieures car, chez elles :
1. les triglycérides sont convertis en saccharose au cours de la germination des graines
oléagineuses
2. la photorespiration nécessite le recyclage du phospho-glycolate produit par ce processus
Dans une feuille illuminée, le peroxysome :
1. porte un cristal de catalase, enzyme engagée dans l’élimination du peroxyde d’hydrogène
2. participe au cycle du glycolate, intervenant lors de la photorespiration
Les gènes homéotiques contrôlent :
1. l’identité des organes
2. la croissance dite allométrique
3. la régénération d’organes suite à des traumatismes
Parmi les facteurs contrôlant typiquement la floraison d’une plante bisannuelle, on identifie :
1. les auxines, via leur contrôle du phénomène de dominance apicale
2. le froid vernalisant
Le froid vernalisant provoque :
1. la répression d’une protéine régulatrice, dite FLC, agissant dans le méristème apical
2. l’induction d’une protéine régulatrice, dite FLC, agissant dans la feuille
3. le déplacement du signal florigène de la feuille au méristème apical
-> FLC est un facteur de transcription qui inhibe l’expression des gènes promoteurs de la floraison, maintenant ainsi la plante dans un état végétatif.
La feuille est le site récepteur du stimulus environnemental :
1. dans le cas de la perception de la photopériode conditionnant éventuellement la floraison
2. dans le cas de la perception d’un froid vernalisant
La vernalisation est perçue par le méristème apical
Une plante qui fleurit a forcément :
1. perçu les conditions de lumière indispensables à l’induction florale
2. produit la totalité des phytomères constituant son appareil caulinofoliaire
(Toutes les P. Ne dépendent pas des conditions lumineuses pour fleurir)
(Ne nécessite pas que la P. ai terminé la prod de tous ces photomères)
Soumise à des jours longs, une plante de jours courts peut être induite à fleurir si on lui greffe une feuille provenant :
1. d’une plante indifférente traitée par des jours longs
2. d’une plante de jours longs soumise à des jours courts
Lorsque la nature chimique du « florigène » a pu être élucidée, on s’est aperçu qu’il s’agissait :
1. d’un ARN messager circulant dans le phloème
2. d’une protéine circulant dans le phloème
3. de plusieurs hormones et pas d’une seule, dont la balance contrôle la transition florale
Une plante dite de jours courts est une plante :
1. qui fleurit lorsque la durée du jour (ininterrompue) est inférieure à 12h de lumière par 24h
2. lorsque la durée de la nuit (ininterrompue) est supérieure à 12h d’obscurité par 24h
4. ni 1 ni 2 (photopériode critique n'est pas fixe et varie selon les espèces)
Les gènes homéotiques :
1. assurent le couplage entre floraison et vernalisation
2. participent à la morphogénèse florale en contrôlant l’identité des organes floraux
3. participent au contrôle photopériodique de la floraison en codant pour les phytochromes
La vernalisation désigne :
1. l’acquisition de la tolérance au gel par certaines plantes au cours de l’automne
2. l’action positive du froid sur la compétence à fleurir chez certaines plantes
3. la levée de la dormance chez les plantes à floraison printanière, suite au rallongement des jours
Parmi les conditions toujours nécessaires à la floraison, il y a :
1. la maturité physiologique
2. la photopériode adéquate
Les hormones végétales :
1. agissent toujours à longue distance
2. agissent toujours à courte distance
3. peuvent agir là où elles sont produites
Les hormones végétales agissent par interaction avec :
1. d’autres hormones
2. des récepteurs dont la nature peut varier selon les tissus
L’élongation cellulaire est stimulée, dans certains contextes du moins, par :
1. les auxines
2. les gibbérellines
Le nanisme d’une plante peut être dû à :
1. une déficience en hormone gibbérelline
2. une insensibilité à l’hormone gibbérelline
La dégradation d’une protéine au cours de la sénescence d’une feuille :
1. produit du CO2 et de l’ammoniaque
2. produit des acides aminés qui sont redistribués dans la plante
Pour obtenir des fruits parthénocarpiques, on peut faire appel à des traitements par :
1. des auxines ou des gibbérellines
2. des gibbérellines ou des cytokinines
3. des cytokinines ou de l’acide abscissique
La sénescence de la feuille est principalement contrôlée par la balance entre :
1. auxines et cytokinines
2. auxines et éthylène
3. cytokinines et éthylène
Si on bloque la production d’éthylène dans le fruit par modification génétique d’une enzyme de sa voie de biosynthèse, on s’attend à ce que :
1. le fruit cesse sa croissance
2. le fruite cesse de respirer
3. le fruit ne change pas de couleur
L’acide abscissique peut être considéré comme antagoniste :
1. de gibbérellines lors de la dormance des graines
2. de l’éthylène lors de la maturation des fruits climactériques
Parmi les hormones connues pour favoriser et stimuler les divisions cellulaires, on connait :
1. les auxines agissant sur les cambiums et la cytokinine agissant sur les méristèmes des bourgeons axillaires
2. les gibbérellines et l’éthylène favorisant la levée de la dormance
3. l’éthylène contrôlant le grossissement du fruit
1. les auxines agissant sur les cambiums et la cytokinine agissant sur les méristèmes des
bourgeons axillaires
Un stomate se ferme parce que :
1. les cellules de garde perdent de l’eau et ne peuvent trouver l’eau autour d’elles pour
compenser ces pertes
2. les cellules de gardes se dégonflent suite à une régulation osmotique de leur état de
turgescence
3. l’extensibilité de leur paroi est augmentée transitoirement par les auxines
4. aucune des proposition ci-dessus
Dans l’expérience de Chardakoff, les fragments de tubercule de pomme de terre possèdent :
1. une pression hydrostatique nulle car ils sont incubés dans les solutions de saccharose à pression atmosphérique
2. une pression osmotique variable en fonction des échanges de solutés de part et d’autre du plasmalemme
3. une valeur de potentiel hydrique égale à celle de la solution d’incubation présentant à
l’équilibre une densité similaire à celle de la solution incolore correspondante
La méthode dite de Chardakoff au cours de laquelle des fragments de tubercule de pomme de terre sont plongés dans des solutions colorées de concentrations en saccharose croissantes permet de :
1. mesurer Psi p (potentiel de pression) des tissus de pomme de terre
2. mesurer Psi s (potentiel osmotique) des tissus de pomme de terre
3. mesurer Psi (potentiel hydrique) des tissus de pomme de terre
Les mesures de plasmolyse réalisées sur des fragments d’épiderme de Rhoeae disclolor L permettent de mettre en évidence une stratégie de tolérance à la contrainte hydrique par ajustement osmotique car :
1. à volume cellulaire similaire, la pression osmotique vacuolaire de la plante préalablement stressée est plus élevée que celle de la plante témoin
2. la concentration en saccharose de la plante témoin est plus faible que celle de la plante stressée hydriquement
(P.osm plus élevée (plus de solutés) -> pour attirer l’H2O)
Au terme de l’expérience de Chardakoff au cours de laquelle des fragments de patate sont plongés dans des solutions colorées de concentrations en saccharose croissantes, les échanges d’eau entre les tissus végétaux et les solutions d’incubation ont pour conséquence de faire varier :
1. la densité de la solution d’incubation avant et après l’expérimentation
2. la masse des tissus végétaux avant et après expérimentation
Dans une solution d’incubation contenant du saccharose, des cellules d’épiderme de
Tradescantia spathacea Sw ayant au préalable réalisé un ajustement osmotique afin de tolérer un stress hydrique prolongé présenteront un pourcentage de cellules plasmolysées :
1. plus grand que celui d’une plante témoin arrosée en continu, quelle que soit la
concentration en saccharose
2. moins grand que celui d’une plante témoin arrosée en continu, quelle que soit la
3. moins grand que celui d’une plante témoin arrosée en continu, pour certaines
concentrations en saccharose seulement
L’identification de pigments photosynthétiques extraits à l’acétone et séparés par
chromatographie sur papier peut se baser sur :
1. leur ordre d’élution mesuré grâce au Rf
2. leur couleur représentative de leur spectre de réflexion
Le 2,6-dichlorophénol indophénol (DCPIP) permet de mettre en évidence le pouvoir réducteur des chloroplastes intacts à la lumière car :
1. il se comporte comme un accepteur d’électrons à la place de la ferrédoxine ou de la
plastoquinone
2. il s’agit d’un indicateur rédox
L’extraction des pigments photosynthétiques a nécessité l’utilisation d’acétone car :
1. sa polarité est proche de celle des molécules à extraire
2. son spectre d’absorption est similaire à celui des pigments photosynthétiques
3. ce solvant maintient les photosystèmes fonctionnels
Au cours de la réaction de Hill visant à démontrer le pouvoir réducteur des chloroplastes intacts placés à la lumière, l’indicateur rédox DCPIP se comporte comme :
1. un accepteur d’électrons
2. un donneur d’électrons
3. un inhibiteur de transfert d’électrons
Le dégagement d’O2 au cours de la phase claire de la photosynthèse peut être mis en évidence à l’aide de :
1. un indicateur acide-base, tel que le rouge de crésol
2. un indicateur rédox, tel que le 2,6-dichlorophénol indophénol (DCPIP)
3. un colorant vital, tel que le bleu de méthylène
Afin d’expliquer la consommation de CO2 à la lumière par une feuille de Prunus lauroceranus L il est nécessaire de prendre en compte les échanges gazeux liés au processus physiologiques suivants :
1. la phase claire de la photosynthèse et la respiration mitochondriale uniquement
2. la phase obscure de la photosynthèse et la respiration mitochondriale uniquement
3. le cycle de Calvin-Benson, la photorespiration et la respiration mitochondriale
Dans un contenant clos, la mise en évidence de la consommation d’oxygène au cours de la germination des graines de pois :
1. implique de fixer le CO2 produit à l’aide, par exemple, de pastilles de NaOH afin d’évaluer
les variations de pressions internes
2. nécessite un titrage en retour car le CO2 produit est instable
1. implique de fixer le CO2 produit à l’aide, par exemple, de pastilles de NaOH afin d’évaluer les variations de pressions internes
La masse de CO2 (mg) produite au cours de la respiration des feuilles de mâche placées à l’obscurité est égale à la valeur arithmétique du volume d’acide oxalique (Vao en ml) mesurée par titrage en retour car :
1. le rapport des masses molaires du CO2 et de l’acide oxalique est égal à la concentration de
la solution de dihydroxyde de baryum exprimée en g/L
2. le rapport des masses molaires du CO2 et de l’acide oxalique est égal à la concentration de
la solution d’acide oxalique utilisée pour le titrage et exprimée en g/L
3. le rapport des masses molaires de l’acide oxalique et du CO2 est égal à la concentration de
3. le rapport des masses molaires de l’acide oxalique et du CO2 est égal à la concentration de la solution d’acide oxalique utilisée pour le titrage et exprimée en g/L
Afin d’identifier les pigments photosynthétiques extraits à l’acétone et séparés par
chromatographie sur papier, il importe d’éliminer une première fraction extraite contenant l’eau des tissus car :
1. les pigments recherchés (chlorophylle et caroténoïdes) sont hydrophiles
2. les pigments recherchés (chlorophylle et caroténoïdes) sont associés aux membranes
Dans une solution d’incubation contenant du saccharose 0,5M, des cellules de l’épiderme de Tradescantia spathacea Sw Plasmolysées :
1. présentent un potentiel de pression Psi P nul
2. se caractérisent par un décollement du plasmalemme vis-à-vis de la paroi
pectocellulosique
La force proton-motrice a la dimension :
1. d’une force
2. d’une énergie
3. d’un potentiel électrique
Une photosynthèse exclusivement cyclique ne produit :
1. aucun ATP
2. aucun NADPH
(e- ne sont pas transférés à NADPH+ donc aucun NADPH formé)
Un activateur allostérique :
1. augmente la vitesse maximale et la constante d’affinité apparente de la réaction
2. ne modifie pas la vitesse maximale, mais diminue la constante d’affinité apparente de la réaction
3. ne modifie pas la vitesse maximale, mais augmente la constante d’affinité apparente de la réaction
2. ne modifie pas la vitesse maximale, mais diminue la constante d’affinité apparente de la réaction (km diminue donc affinité augmente).
Les glyoxysomes permettent :
1. le recyclage du phosphoglycolate produit par la photorespiration
2. la conversion de lipides en glucides dans une graine en germination
Dans les graines oléagineuses où ils participent à la converstion des huiles en sucres.
Au cours de la nuit :
1. toute pénétration d’eau dans les racines est interrompue
2. l’eau pénètre dans les racines mais ne peut gagner les feuilles
Pour fabriquer un acide aminé au départ d’ions nitrates, on a besoin :
1. de pouvoir réducteur uniquement
2. de pouvoir réducteur et d’ATP uniquement
3. de pouvoir réducteur, d’ATP et de carbone organique
Le développement parthénocarpique des fruits peut parfois être obtenu par application :
1. d’auxines
2. de cytokinines
Le complexe ATP synthase de la membrane thylakoïdale :
1. contribue à la force proton-motrice de part et d’autre de cette membrane
2. utilise la force proton-motrice de part et d’autre de cette membrane
3. déplace de l’ATP de part et d’autre de cette membrane afin de le mettre à la disposition du
métabolisme
La transpiration foliaire est fonction :
1. du gradient de pression de vapeur entre la feuille et l’atmosphère
Lors de l’ouverture des stomates :
1. des ions K+ pénètrent massivement dans la cellule
2. de l’amidon est synthétisé dans les cellules de garde pour mettre en réserve les assimilas
photosynthétiques
3. une pompe à proton est activée au niveau du tonoplaste
Le pouvoir réducteur généré dans le chloroplaste illuminé est utilisé :
1. dans l’assimilation du carbone uniquement
2. dans l’assimilation du carbone et de l’azote uniquement
3. dans de multiples processus réducteurs dans cet organite
La molécule d’ATP est capable d’alimenter en énergie de nombreux processus cellulaires car :
1. son hydrolyse est fortement exergonique
2. elle représente un porteur d’énergie libre déplacé dans le phloème
4. ni 1 ni 2 / 1. son hydrolyse est fortement exergonique
L’amidon :
1. est stocké dans le plaste
2. est exporté du plaste
3. est dégradé en CO2 dans le plaste
La nitrification est assurée par :
1. des bactéries libres
2. des bactéries symbiotiques
3. des champignons du sol
La photorespiration peut être réduite, voire éliminée, par :
1. la réduction de l’ouverture des stomates pendant la journée chez les plantes en C3
2. la séparation spatiale de la fixation du carbone atmosphérique et de sa réduction chez les plantes en C4
(Chez P. en C3, réduire l’ouverture des stomates réduit la concentration en CO2 -> aggrave la photorespiration)
Photorespiration se produit lorsque RUBISCO fixe O2 au lieu de CO2.
Comme exemple d’antiporteur, on peut citer :
1. le translocateur de phosphate du chloroplaste
2. le transporteur assurant la rentrée du saccharose dans la cellule compagne du phloème
3. le transporteur assurant le stockage du saccharose dans une vacuole
On peut considérer comme application physiologique du phénomène d’osmose :
1. le déplacement de l’eau de la paroi des cellules mésophylliennes vers les espaces
intermembranaires
2. le passage de l’apoplasme vers le symplasme par l’eau gagnant le cylindre central d’une racine
3. le déplacement d’eau dans les éléments conducteurs du xylème
Afin d’injecter des électrons dans la chaine photosynthétique des thylakoïdes, via le complexe de photolyse de l’eau, il faut :
1. 2 molécules d’eau et 4 photons
2. 1 molécule d’eau et 4 photons
3. 2 molécules d’eau et 2 photons
Dans une chaine rédox :
1. les électrons doivent être excités par la lumière pour ensuite descendre de niveau
énergétique
2. les électrons gagnent des réducteurs de plus en plus forts
3. les électrons gagnent des oxydants de plus en plus forts
Le translocateur (complexe protéique permettant le transport de molécules) de phosphates est un transporteur membranaire :
1. mitochondrial phosphorylant l’ADP en ATP
2. chloroplastique permettant la sortie de trioses-phosphates de cet organite
3. du plasmalemme assurant la rentrée endergonique d’ions phosphates HOPO32- dans la cellule
(Translocateur = transporteur membranaire chloroplastique qui permet la sortie de trioses-PO4)
L’assimilation symbiotique de l’azote atmosphérique mobilise :
1. des mycorhizes
2. des nodules racinaires
Pour fleurir, une plante doit toujours :
1. avoir arrêté la formation d’entre-nœuds et perçu la bonne photopériode
2. avoir atteint un état dit de maturité physiologique et perçu la bonne photopériode
3. avoir atteint un état dit de maturité physiologique et activé certains gènes qualifiés
d’homéotiques
Les auxines favorisent l’élongation de certaines cellules :
1. en activant des enzymes qui dégradent des polysaccharides de la paroi
2. en augmentant la rentrée d’eau dans la vacuole
Le fonctionnement cyclique d’une chaine photosynthétique :
1. permet de générer une force proton-motrice
2. n’est rencontré que dans les photosynthèses bactériennes
3. nécessite la consommation d’un réducteur minéral ou organique
Pour mobiliser des triglycérides dans une graine oléagineuse, on a besoin des enzymes :
1. lipase et protéase
2. lipase et citrate synthase
La disposition de stomates dans des cryptes pilifères augmente :
1. la résistance de la couche limite
2. la résistance cuticulaire
3. la résistance de la mésophylle
On peut considérer que le fonctionnement d’un antiporteur est un cas particulier :
1. de couplage énergétique
2. de diffusion
3. de pompage des solutés à travers une membrane
La coopération de deux photosystèmes au cours de la photosynthèse oxygénique permet :
1. de hisser les électrons d’un bas niveau énergétique sur la molécule d’eau à un haut niveau sur le NADPH
2. de collecter l’énergie lumineuse à toutes les longueurs d’ondes du spectre solaire
Parmi les processus exploitant le pouvoir du chloroplaste illuminé, il y a :
1. l’assimilation du carbone
2. l’assimilation de l’azote
La respiration de la racine est essentielle à la nutrition minérale, parce que :
1. elle assure le prélèvement toujours actif des minéraux
2. elle élimine l’oxygène qui produit des formes dérivées toxiques
3. elle entretient le potentiel de membrane essentiel au prélèvement des minéraux
Le développement modulaire des plantes supérieures illustre :
1. la totipotence des cellules végétales
2. le rôle des méristèmes dans la formation des nouveaux organes
Les hormones peuvent agir :
1. en modifiant la transcription de l’ADN
2. en modifiant l’activité catalytique de protéines enzymatiques
Le phénomène de guttation constitue une manifestation :
1. du déplacement de l’eau dans le xylème au cours de la nuit
2. du déplacement par osmose entre le cortex et la stèle de la racine
Parmi les éléments minéraux considérés comme importants pour l’osmorégulation, chez certaines plantes au moins, on peut citer :
1. le magnésium et le potassium
2. le potassium et le sodium
3. le sodium et le calcium
Le stockage de l’azote dans une graine peut se faire sous forme :
1. de nitrates
2. d’acides aminés
3. de protéines
Une réaction biochimique peut avoir lieu spontanément si et seulement si :
1. elle est catalysée par une enzyme
Les antioxydants protègent contre :
1. un excès de lumière chez les organismes photosynthétiques
2. un déficit en oxygène chez les organismes aérobies
Un protoplaste est obtenu en :
1. digérant la paroi uniquement
2. digérant la membrane plasmique et la paroi
3. en fusionnant 2 cellules non gamétiques
Le cyanure bloque :
1. la respiration alternative
2. toute forme de respiration
3. la respiration mitochondriale dépendant des cytochromes
Parmi les hormones connues pour stimuler les divisions cellulaires (contextes éventuellement différents), on peut citer :
2. cytokinines et gibbérellines
Pour pouvoir être observée au labo, la réaction de Hill nécessite que :
1. les chloroplastes soient intacts (intégrité de la double membrane qui les limite)
2. les thylakoïdes soient intacts
3. les enzymes du cycle de Calvin ne soient pas dénaturées
4. toutes les propositions ci-dessus
Chez les végétaux, on rencontre des chaines rédox :
1. dans les membranes des cellules vertes uniquement
2. dans les membranes uniquement
3. dans les membranes et dans la phase hydrosoluble d’organites
Au cours d’un cycle journalier, la transpiration est une fonction linéaire de :
1. la température
2. la conductance stomatique
Parmi les hormones impliquées dans l’ISR (Induced Systemic Resistance), potentialisation des défenses de la plante, on peut citer :
1. l’acide abscissique et l’éthylène
2. les auxines et l’acide abscissique
3. l’acide jasmonique et l’éthylène
On peut considérer que l’ATP synthase proton-dépendante est :
1. ATPase pompe à protons inversée
2. un antiporteur adénylate/proton
3. un symporteur adénylate/proton
ATP synthase utilise le flux de proton selon leur gradient pour produire de l’ATP
Le sol s’asséchant voit le potentiel hydrique de son eau devenir plus négatif en raison :
1. de la concentration en soluté qui augmente
2. de la tension de l’eau qui devient plus négative avec la diminution du rayon du ménisque de l’interface liquide gaz
L’énergie d’activation des chlorophylles peut être consommée :
1. en réalisant un travail photochimique
2. en dégageant de la chaleur
Lorsque chlorophylle absorbe E lumineuse, e- passent d’un état fondamental à un état excité :
-> partie E pour travail photochimique
-> partie E dissipée sous forme de chaleur
On observe une accumulation d’amidon suivi de sa mobilisation dans le contexte suivant
1. le développement du fruit de la tomate
2. la thermogénèse du spadice du gouet tacheté Arum maculatum
On qualifie les membranes biologiques de semi-perméables parce qu’elles :
1. laissent passer certains ions et en retiennent d’autres
2. ne laissent passer que l’eau dans un seul sens
3. retiennent mieux les solutés que les molécules d’eau, lorsque tous deux forment une
solution
La lumière rouge intervient :
1. dans la photosynthèse chlorophyllienne, comme fournisseur d’énergie
2. dans le contrôle de la floraison, comme composante du signal photopériodique
Lorsqu’une réaction biochimique est spontanée, on peut dire que :
1. la variation d’énergie libre est négative et la constante d’équilibre K est supérieure au
rapport d’action des masses q
2. la constante d’équilibre est inférieure à 1 et la variation d’énergie libre négative
3. la constante d’équilibre est supérieure à 1 et la variation d’énergie libre positive
On parle de pool des hexoses phosphates dans le métabolisme carboné parce que :
1. c’est le point de convergence de la dégradation des polysaccharides et des triglycérides
2. ils sont stockés tous ensemble dans la vacuole
3. ils constituent un stock de carbone au départ duquel plusieurs voies du métabolisme sont initiées
L’application de cyanure à une racine conduit :
1. à réduire l’amplitude du potentiel de membrane des cellules
2. à diminuer voire supprimer la pression racinaire
L’eau se déplaçant dans le xylème :
1. développe une pression de vapeur d’eau à son extrémité, qui pousse l’eau hors des feuilles
2. peut être aspirée par les feuilles et/ou poussée par les racines
3. déplace simultanément des bulles d’air lors du phénomène de cavitation
Dans la photosynthèse oxygénique des plantes supérieures, la molécule d’eau fournit :
1. tous les électrons requis par la phase claire pour une synthèse de NADPH
2. tous les protons requis par la phase claire pour créer une force proton-motrice, puis de l’ATP
La lumière active l’ouverture des stomates (chez une plante C3) en :
1. provoquant une baisse du pH cytosolique
2. stimulant des transporteurs spécifiques de la membrane plasmique
3. apportant l’énergie nécessaire à une pompe à protons de la membrane plasmique
2. stimulant des transporteurs spécifiques de la membrane plasmique (K+)
La photosynthèse oxygénique telle que pratiquée par les plantes supérieures est unique par :
1. la mise en œuvre d’une chaine ouverte d’électrons, avec un donneur initial et un
accepteur final bien distincts
2. le couplage de deux photosystèmes permettant l’excitation en deux temps des électrons
de la lumière
2. le couplage de deux photosystèmes permettant l’excitation en deux temps des électrons de la lumière
Les graines d’aleurone observables dans les caryopses de Zea mays L et l’albumen de Ricinus L se caractérisent par :
1. la présence de protéines cristallisées par le globoïde
2. l’absence d’une double couche phospholipidique les délimitant
3. la présence d’inclusions appelées oléosomes
Les extraits protéiques réalisés afin de mettre en évidence l’activité d’amylases au cours de la germination de caryopses d’Hordeum vulgare L :
1. contiennent l’ensemble des protéines hydrosolubles présentes lors de la germination
2. contiennent des alpha et beta amylases associées à d’autres enzymes clivant l’amidon en monosaccharides
Le bilan en ATP de la glycolyse peut être amélioré par :
1. la consommation de saccharose plutôt que d’amidon comme point de départ
2. la phosphorolyse de l’amidon plutôt que son hydrolyse comme point de départ
Les protoplastes permettent :
1. de régénérer des plantes au départ de simples cellules
2. d’injecter des organites cellulaires (comme les chloroplastes) dans des cellules pour créer
de nouvelles combinaisons génétiques
3. d’éliminer des virus par traitement thermique de ces protoplastes
Protoplaste = cellule sans sa paroi
Pour ralentir le mûrissement de fruits climactériques, on peut penser à :
1. réduire la concentration en oxygène gazeux de l’air ambiant
2. inhiber l’action de l’éthylène en bloquant ses récepteurs
La biophysique applique l’étude des phénomènes physiques au fonctionnement des organismes vivants. Chez les plantes, on mesure notamment :
1. l’état de polarisation électrique de la membrane plasmique lors de la capture des proies chez certaines plantes carnivores
2. les signaux acoustiques liés au phénomène de guttation
Parmi les marqueurs de juvénilité des plantes à fleurs, on connait :
1. la dormance des bourgeons et l’élongation des entre-nœuds
2. la morphologie foliaire et l’élongation des entre-nœuds
3. la morphologie foliaire et le développement de poils épidermiques sur la feuille
Relativement à la floraison, une plante de jours longs :
1. a forcément une photopériode critique plus longue qu’une plante de jours courts
2. est en fait une plante de nuits courtes
En physiologie végétale, on reconnait les phénomènes réversibles suivants :
1. l’induction photopériodique de la floraison
2. la vernalisation, en tant que promotion de la floraison par le froid
Certains plantes héliophiles manifestent le phénomène d’évitement de l’obscurité (shade avoidance) qui implique :
1. la répression de la voie des gibbérellines liée à une augmentation du rapport entre
phytochromes Pfr/total
2. l’activation de la voie des gibbérellines liée à une augmentation du rapport entre
3. l’activation de la voie des gibbérellines liée à une diminution du rapport entre
Parmi les réponses à l’hypoxie, on connait chez les plantes :
1. l’abscission des feuilles et des fruits
2. le développement d’un aérenchyme dans la racine et une réduction de la taille des entre-
nœuds
3. le développement d’un aérenchyme et l’enclenchement d’un métabolisme fermentaire
dans les racines
Parmi les éléments majeurs ou macronutriments des végétaux, il y a :
1. C, N, Mg, P
2. N, Mg, S, P
3. Mg, S, P, Fe
Parmi les effets dommageables d’un excès de nutriments à l’extérieur de la plante, on peut citer :
1. un stress osmotique, marqué par un potentiel de soluté et un potentiel hydrique très
négatif dans le milieu
2. un stress électrique, lié à l’incapacité de la plante à neutraliser les charges électriques
portées par les ions à l’extérieur de la plante
Si l’on considère le développement de surfaces d’échanges des racines avec le sol, on peut citer par ordre d’importance croissant :
1. la ramification de la racine, sa croissance secondaire, sa mycorhization
2. la ramification de la racine, la production de poils absorbants par celle-ci, sa mycorhization
3. la croissance secondaire de la racine, la production de poils absorbants par celle-ci, sa mycorhization
Parmi les propriétés de l’eau importantes pour la physiologie de la plante, on peut citer
1. sa grande propension à céder des électrons, ce qui en fait un réducteur idéal pour
l’assimilation du carbone et de l’azote, notamment
2. ses propriétés d’adhésion liées à la polarité de la molécule d’eau, permettant l’ascension de l’eau dans le xylème par capillarité
3. sa chaleur spécifique élevée, qui permet le refroidissement des feuilles par transpiration
La vitesse de déplacement de l’eau dans le phloème dépend :
1. de l’activité contractile de protéines associées aux cribles, les protéines P
2. du gradient de pression entre les sources et les puits, uniquement
3. du gradient de pression entre les sources et les puits, ainsi que d’autres facteurs comme le diamètre des cribles et la viscosité de la sève
Lors de l’ouverture d’un stomate, on observe dans les cellules de garde :
1. une réorientation des fibrilles de cellulose qui augmente l’extensibilité de la paroi
2. une entrée d’ions K+ dans la cellule de garde
3. une dépolarisation électrique de la membrane plasmique
On peut s’attendre à observer le phénomène de cavitation chez une espèce ligneuse lorsque :
1. la pression radiculaire (ou racinaire) est particulièrement élevée
2. le potentiel de pression (ou hydrostatique) du xylème dans le tronc devient très négatif
Bulles implosent
On s’attend à rencontrer les molécules suivantes dans la sève phloémienne :
1. du saccharose, du fructose et du glucose
2. des fructanes et du saccharose
3. du stachyose et des acides aminés
Parmi les enzymes susceptibles de créer une activité puits, on peut citer :
1. invertase et ADP-glucose pyrophsophorylase
2. saccharose synthase et invertase
Le phytochrome partage avec les cytochromes la propriété de :
1. lier un atome de fer
2. participer à des réactions oxydo-réductrices
3. présenter des configurations isomériques sensibles à la lumière rouge
Lorsque l’oxygène se raréfie au niveau des racines :
1. la photorespiration de ces organes tend à diminuer
2. la glycolyse devient le principal pourvoyeur d’ATP dans le métabolisme
Chez les plantes supérieures, on parle de photosynthèse cyclique lorsque :
1. l’eau consommée par la réaction de photolyse est régénérée en fin de processus
2. les réactions d’oxydo-réduction des membranes chlorophylliennes déplacent les électrons en boucle
On dit que le NADPH est un véhicule d’énergie libre parce que :
1. il réagit avec la forme oxydée NADP+ pour libérer de l’énergie
2. il porte des électrons à haute énergie, qu’il cède au cours de réactions oxydo-réductrices exergoniques
3. il diffuse librement à travers les membranes
(NADP+ est réduit en NADPH grâce à des e- excités)
La phase obscure de la photosynthèse :
1. a lieu à l’obscurité, lorsque le pH du stroma du chloroplaste est voisin de la neutralité
2. est dépendante des produits photochimiques ATP et NADPH
La fixation du CO2 lors de la photosynthèse peut être mise en évidence à l’aide :
1. d’un indicateur acide-base
2. d’un indicateur rédox
Une plante ayant développé une stratégie de tolérance à la sécheresse en accumulant des osmolites dans ses cellules présentera une résistance à la plasmolyse :
1. plus grande que celle d’une plante n’ayant pas subi ce stress au préalable
2. plus faible que celle d’une plante n’ayant pas subi ce stress au préalable
3. similaire à celle d’une plante n’ayant pas subi ce stress au préalable
Lors de l’expérience de Chardakoff, les tissus des pommes de terre ajustent leur potentiel hydrique à une valeur proche de celle du milieu d’incubation grâce à des transferts :
1. d’eau
2. de saccharose
3. d’amidon
Afin de mesurer la consommation d’oxygène au cours de la respiration, il importe de travailler :
1. à l’obscurité ou d’utiliser des organes non photosynthétiques s’ils sont exposés à la
lumière
2. dans un milieu aérobie
Les réactifs de Hill interférant avec la phase claire de la photosynthèse se comportent toujours comme :
1. des donneurs d’électrons
2. des accepteurs d’électrons
3. des inhibiteurs de transfert d’électrons
Le transport basipète de l’auxine dans une tige emprunte :
- Des transporteurs membranaires particuliers (protéines PIN) permettent un
déplacement polarisé d’une cellule à la suivante.
- Le xylème, par entraînement dans la sève.
- Le phloème, par entraînement dans la sève.
- Aucune des propositions ci-dessus.
Au cours de la greffe d’une feuille d’une plante sur la tige d’une autre plante, il est
possible d’observer la transmission par la greffe :
- Du phytochrome.
- Du signal florigène FT.
- Du signal de vernalisation FT.
La germination sur pied - c’est-à-dire sur l’épi de la plante mère - des caryopses de
céréales peut résulter :
- d’une déficience en acide abscissique dans le caryopse.
- d’un excès d’acide abscissique dans le caryopse.
- d’une déficience en acide gibbérellique dans le caryopse.
On parle de glyoxysomes :
Dans la feuille où ils recyclent le glycolate produit par la photorespiration
Dans les graines oléagineuses où ils participent à la conversion des huiles en sucres
À la fois 1 et 2
Ni 1, ni 2
Le glycéraldéhyde-3-PO4 est un intermédiaire :
De la glycolyse
Du cycle de Calvin-Benson
Un fragment de tubercule de pomme de terre plongé dans une solution de saccharose 0,5M :
- voit sa masse augmenter jusqu’à l’équilibre suite au flux d’eau généré par la
différence de potentiel hydrique entre les tissus et le milieu d’incubation.
- provoque une augmentation de la densité de la solution d’incubation à l’équilibre.
- A la fois 1 et 2.
- Ni 1, ni 2.
- Ni 1, ni 2. (H20 sort de la pdt, densité constante.
Des graines de pois placées à l’obscurité dans une ampoule à décanter fermée ne contenant aucun dispositif de captation du CO2,
- finiront par fermenter du fait de l’anoxie générée par la respiration des réserves des
graines.
- induiront in fine une augmentation de la pression interne dans l’ampoule.
L’expérience dite de Hill telle que réalisée aux travaux pratiques en présence et en l’absence d’un détergent permet de mettre en évidence :
- le pouvoir oxydant des chloroplastes exposés à la lumière du fait du dégagement
d’oxygène.
- la dépendance membranaire de ce pouvoir oxydant.
( triton X-100 )
Les phrases ci-dessous décrivent une chaîne causale d’événements. On vous
demande de les remettre dans le bon ordre.
1. Une intensité lumineuse élevée excite de nombreuses chlorophylles.
2. Le pH du lumen des thylakoïdes devient très acide.
3. La désépoxydase liée à la membrane thylakoïdale est activée.
4. La violaxanthine est transformée en zéaxanthine.
5. Les xhanthophylles désépoxydées captent l’énergie d’excitation des chlorophylles.
6. Les xhanthophylles désépoxydées libèrent de la chaleur.
7. La production de superoxydes par la réaction de Mehler est réduite.
Au cours du cycle photorespiratoire, on observe un dégagement net de CO2
Vrai
Faux
La voie oxydative des pentoses-phosphates a pour rôle de fournir du pyrophosphate,
source d’énergie libre alternative à l’ATP.
Le sodium est un élément essentiel de la nutrition de toutes les plantes.
Les plantes à floraison indifférente à la photopériode ne peuvent pas faire l'objet de
vernalisation.
On peut appliquer des gibbérellines à des semences pour en activer la germination.
Au cours de la fermentation lactique, on observe un dégagement de CO2.
Faux -> fermentation alcoolique
Dans la cellule photosynthétique, le Fructose-2,6-bisphosphate fonctionne comme
inhibiteur de la synthèse d’hexoses-phosphates dans le cytosol.
Le calcium est un élément dit mobilisable car il peut être exporté d’une feuille
sénescente.
Le stimulus photopériodique est perçu par le méristème caulinaire au moment de sa
transition florale.
L’abscission des fruits peut être freinée par application d’auxines.
La pompe ATPasique de la membrane plasmique de la cellule compagne du
phloème crée une force proton-motrice.
Le saccharose pénètre dans la cellule compagne par un mécanisme de symport
saccharose / proton
Le tube criblé est chargé en saccharose par diffusion à travers les plasmodesmes
qui le relient à une cellule compagne.
Le potentiel de soluté du phloème de la feuille source est fortement négatif.
L’eau pénètre par osmose dans le symplasme phloémien de la source.
Le saccharose est entraîné par le flux en masse provoqué par la différence de
pression hydrostatique entre la source et le puits.
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